C'est ce que demande une criminologue qui étudie les féminicides depuis plus de dix ans, pour qui les suicides et «homicides cachés» devraient être reconnus comme tels.
Dans son dernier livre, Louise Chennevière aborde la question de l'hypersexualisation des jeunes femmes et du regard des hommes, dans une langue qui peut dérouter. Au risque de brouiller son message? Au risque de faire de la littérature.