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14.10.2025 à 12:23

Contre le logement social : Macron a de la suite dans les idées

Catherine Tricot

Cet après-midi, le Parlement va entendre une déclaration de politique générale qui ne saurait se réduire à la seule question de la suspension de la réforme des retraites pour 18 mois. Il sera aussi question de la politique du logement. Depuis des années, le président saborde ce qui reste du modèle social français.
Texte intégral (765 mots)

Cet après-midi, le Parlement va entendre une déclaration de politique générale qui ne saurait se réduire à la seule question de la suspension de la réforme des retraites pour 18 mois. Il sera aussi question de la politique du logement. Depuis des années, le président saborde ce qui reste du modèle social français.

En nommant Vincent Jeanbrun, Sébastien Lecornu poursuit la politique de destruction du logement social méthodiquement appliquée depuis 2017. Vincent Jeanbrun, député et ancien maire (LR) de L’Haÿ-les-Roses, coche toutes les cases du macronisme avancé : libéral, autoritaire et déjà sous le coup d’une enquête pour prise illégale d’intérêts. D’après Le Monde, il aurait attribué des logements publics à ses collaborateurs. L’État récompense la compétence, dit-on.


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Le ministre s’inscrit dans la droite ligne de son prédécesseur Renaissance Guillaume Kasbarian, auteur de la très contestée loi « antisquat » – un texte salué par les propriétaires, honni par les associations et même critiqué par les rapporteurs de l’ONU.

Vincent Jeanbrun ne fait pas non plus dans la nuance. Dans un rapport titré « Réparer les quartiers. Rétablir la République », il propose la fin du logement social à vie, la limitation du parc HLM à 30% par commune, la possibilité d’expulser sans juge et même la condition d’un casier judiciaire vierge de dix ans pour espérer un toit. Une sorte de permis de logement pour « honnêtes gens ». 

Comme beaucoup avant lui, le nouveau ministre veut « faire de la France un pays de propriétaires » et pour cela faciliter la vente massive des logements sociaux à leurs occupants. On sait ce que cela a donné au Royaume-Uni : la vente du parc social a précipité des millions de personnes dans la précarité.

Au début des années 2010, 9% du budget des ménages était consacré au logement. C’est désormais près du quart. Dans le malaise sur le pouvoir d’achat qui se dégrade, il y a la part exponentielle du logement.

Souvenons-nous pourtant : en 2017, le jeune candidat Macron promettait que « plus personne ne dormirait à la rue d’ici la fin de l’année ». Sept ans plus tard, il n’y en a jamais eu autant. Et, dès son arrivée au pouvoir, il retira cinq euros d’APL. Une petite économie pour l’État, une grande claque pour les bailleurs sociaux qui ont dû compenser. Depuis 2017, chaque année, ils se sont appauvris de 1,3 milliards d’euros. Un manque à gagner qui a abîmé toujours plus leurs capacités. On construit un peu plus de 300 000 logements sociaux par an : c’est 25% de moins qu’avant 2020. Résultat : il manque après de 350 000 logements sociaux et moins d’un demandeur sur dix en obtient.

Ce n’est pas seulement une question de budget. C’est une idéologie. Celle qui veut faire des classes populaires des suspects permanents, des assistés à contrôler, des logements à rentabiliser. Emmanuel Macron ne fait que prolonger le dessein de Nicolas Sarkozy et de Christine Boutin : réduire le parc social et le restreindre aux plus pauvres.

Au début des années 2010, 9% du budget des ménages était consacré au logement. C’est désormais près du quart. Dans le malaise sur le pouvoir d’achat qui se dégrade, il y a la part exponentielle du logement. Il faut une politique exactement inverse de celle proposée par le nouveau ministre – qui n’a pas été choisi par hasard. De cette politique là aussi, il faut se démarquer. Cet après-midi, le premier ministre va faire une déclaration de politique générale. Elle ne se réduira pas à la question de la suspension de la réforme des retraites. Elle sera globale et cohérente. Elle doit être censurée.

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14.10.2025 à 12:20

🔴 SUSPENSION DU JOUR

la Rédaction

Le PS en passe d’arracher une suspension de la réforme des retraites ? Va-t-on vers une suspension « complète et immédiate » de la réforme des retraites jusqu’à la prochaine présidentielle, comme le demandent les socialistes ? L’idée, qui semble faire son chemin à Matignon, serait la clé de voûte de la non-censure du gouvernement Lecornu II…
Lire + (171 mots)

Le PS en passe d’arracher une suspension de la réforme des retraites ?

Va-t-on vers une suspension « complète et immédiate » de la réforme des retraites jusqu’à la prochaine présidentielle, comme le demandent les socialistes ? L’idée, qui semble faire son chemin à Matignon, serait la clé de voûte de la non-censure du gouvernement Lecornu II par le PS. Mathématiquement, il manquerait 24 voix aux oppositions pour faire chuter le gouvernement. Mais la chute du totem de la Macronie pourrait aiguiser les rancœurs et l’on pourrait bien voir ces 24 voix se lever dans les rangs de feu le « socle commun ». Et si la censure est évitée malgré tout ? Les socialistes s’enorgueilliraient d’avoir offert deux ans de répit au pouvoir macroniste. Et on s’embourberait le reste de la politique du gouvernement… Accessoires, Gérald Darmanin à la justice, Laurent Nunez à l’intérieur, Vincent Jeanbrun au logement, Rachida Dati à la culture ?

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14.10.2025 à 12:00

Contre le logement social : Macron a de la suite dans les idées

la Rédaction

La lettre du 14 octobre 📨
Texte intégral (1442 mots)

La lettre du 14 octobre 📨

par Catherine Tricot

Cet après-midi, le Parlement va entendre une déclaration de politique générale qui ne saurait se réduire à la seule question de la suspension de la réforme des retraites pour 18 mois. Il sera aussi question de la politique du logement. Depuis des années, le président saborde ce qui reste du modèle social français.

En nommant Vincent Jeanbrun, Sébastien Lecornu poursuit la politique de destruction du logement social méthodiquement appliquée depuis 2017. Vincent Jeanbrun, député et ancien maire (LR) de L’Haÿ-les-Roses, coche toutes les cases du macronisme avancé : libéral, autoritaire et déjà sous le coup d’une enquête pour prise illégale d’intérêts. D’après Le Monde, il aurait attribué des logements publics à ses collaborateurs. L’État récompense la compétence, dit-on.

Le ministre s’inscrit dans la droite ligne de son prédécesseur Renaissance Guillaume Kasbarian, auteur de la très contestée loi « antisquat » – un texte salué par les propriétaires, honni par les associations et même critiqué par les rapporteurs de l’ONU.

Vincent Jeanbrun ne fait pas non plus dans la nuance. Dans un rapport titré « Réparer les quartiers. Rétablir la République », il propose la fin du logement social à vie, la limitation du parc HLM à 30% par commune, la possibilité d’expulser sans juge et même la condition d’un casier judiciaire vierge de dix ans pour espérer un toit. Une sorte de permis de logement pour « honnêtes gens ». 

Comme beaucoup avant lui, le nouveau ministre veut « faire de la France un pays de propriétaires » et pour cela faciliter la vente massive des logements sociaux à leurs occupants. On sait ce que cela a donné au Royaume-Uni : la vente du parc social a précipité des millions de personnes dans la précarité. 

Souvenons-nous pourtant : en 2017, le jeune candidat Macron promettait que « plus personne ne dormirait à la rue d’ici la fin de l’année ». Sept ans plus tard, il n’y en a jamais eu autant. Et, dès son arrivée au pouvoir, il retira cinq euros d’APL. Une petite économie pour l’État, une grande claque pour les bailleurs sociaux qui ont dû compenser. Depuis 2017, chaque année, ils se sont appauvris de 1,3 milliards d’euros. Un manque à gagner qui a abîmé toujours plus leurs capacités. On construit un peu plus de 300 000 logements sociaux par an : c’est 25% de moins qu’avant 2020. Résultat : il manque après de 350 000 logements sociaux et moins d’un demandeur sur dix en obtient.

Ce n’est pas seulement une question de budget. C’est une idéologie. Celle qui veut faire des classes populaires des suspects permanents, des assistés à contrôler, des logements à rentabiliser. Emmanuel Macron ne fait que prolonger le dessein de Nicolas Sarkozy et de Christine Boutin : réduire le parc social et le restreindre aux plus pauvres.

Au début des années 2010, 9% du budget des ménages était consacré au logement. C’est désormais près du quart. Dans le malaise sur le pouvoir d’achat qui se dégrade, il y a la part exponentielle du logement. Il faut une politique exactement inverse de celle proposée par le nouveau ministre – qui n’a pas été choisi par hasard. De cette politique là aussi, il faut se démarquer. Cet après-midi, le premier ministre va faire une déclaration de politique générale. Elle ne se réduira pas à la question de la suspension de la réforme des retraites. Elle sera globale et cohérente. Elle doit être censurée.

Catherine Tricot

🔴 SUSPENSION DU JOUR

Le PS en passe d’arracher une suspension de la réforme des retraites ?

Va-t-on vers une suspension « complète et immédiate » de la réforme des retraites jusqu’à la prochaine présidentielle, comme le demandent les socialistes ? L’idée semble faire son chemin à Matignon. Proposée par Élisabeth Borne – qui n’est plus ministre –, soutenue par l’ancien ministre de l’économie Éric Lombard et par le tout nouveau prix Nobel d’économie Philippe Aghion, cette suspension serait la clé de voûte de la non-censure du gouvernement Lecornu II par le PS. Faut-il voir une preuve que cela va advenir : dans son budget pour 2026, Sébastien Lecornu tiendrait compte de l’impact financier d’une telle suspension. Mais tout ceci reste de l’ordre des spéculations, à l’heure où l’on écrit ces lignes. Les députés PS pourraient donc s’abstenir de censurer. Mathématiquement, il manquerait 24 voix aux oppositions pour faire chuter le gouvernement. Mais la chute du totem de la Macronie pourrait aiguiser les rancœurs et l’on pourrait bien voir ces 24 voix se lever dans les rangs de feu le « socle commun ». Et si la censure est évitée malgré tout ? Les socialistes s’enorgueilliraient d’avoir offert deux ans de répit au pouvoir macroniste. Et on s’embourberait le reste de la politique du gouvernement… Accessoires, Gérald Darmanin à la justice, Laurent Nunez à l’intérieur, Vincent Jeanbrun au logement, Rachida Dati à la culture ?

L.L.C.

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13.10.2025 à 12:43

La censure qui vient

la Rédaction

Les motions sont déjà déposées. Les socialistes ont peur : une dissolution pourrait conduire le RN au pouvoir. Ils ont raison d'avoir peur, mais de là à rester en PLS...
Texte intégral (574 mots)

Les motions sont déjà déposées. Les socialistes ont peur : une dissolution pourrait conduire le RN au pouvoir. Ils ont raison d’avoir peur, mais de là à rester en PLS…

Sébastien Lecornu a donc composé, en moins d’une semaine, son deuxième gouvernement. On y découvre des nouvelles têtes de la « société civile » tandis que les poids lourds politiques restent à la porte, à l’exception des remarquables Gérald Darmanin et Rachida Dati : on a les cadors qu’on mérite. Les ministres sont appelés à faire passer les arbitrages présidentiels auprès des députés.


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Le PS redoute qu’une dissolution ne conduise le RN au pouvoir, seul ou avec une partie des LR en alliés. La peur évacue-t-elle le danger ? Pourtant les socialistes hésitent et semblent vouloir gagner du temps : attendre le discours de politique générale de mardi. Aujourd’hui, ils ne parlent plus que de « suspension de la réforme des retraites » comme condition de leur abstention. Ils s’éloignent de leurs exigences initiales : abrogation de la réforme des retraites, imposition des plus riches, abandon du 49.3, revalorisation du SMIC et des petits salaires. Ce faisant ils suscitent incompréhension ; ils s’isolent de leurs partenaires de gauche qui tous ont annoncé leur intention de censurer. Et se coupent d’une bonne partie de la rue de gauche.

Alors que la prolongation du gouvernement Macron-Lecornu ne tient qu’à leur décision, en ne votant pas la censure qui vient, le PS abîmerait toute crédibilité à porter une alternative au marcronisme. Ce faisant, il retournerait à la case départ, celle d’un fort doute sur son appartenance à la gauche. Avec, en 2022, un résultat mémorable : 1,74%.

Soit Sébastien Lecornu ne lâche rien sur les retraites… et les socialistes censurent. Soit il met sur pause et le plus probable est que la censure sera quand même votée.

Des motions de censure sont d’ores et déjà déposées. Soit Sébastien Lecornu ne lâche rien sur les retraites… et les socialistes censurent. Soit il met sur pause et le plus probable est que la censure sera quand même votée au bénéfice des désaccords parmi les LR et chez Horizons pour qui la réforme des retraites est un marqueur identitaire. Le groupe LIOT ne sera pas, cette fois encore, homogène. Le gouvernement pourrait donc tomber quelque soit la décision du PS ! Si le parti à la rose s’abstenait, ce serait alors les plumes et le goudron. 

Viendrait une loi spéciale sur le budget puis une dissolution et des élections législatives express. Comme la peur n’évacue pas le danger, c’est à cette perspective que la gauche dans son ensemble doit se préparer. Sans perdre un instant.

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13.10.2025 à 12:41

La censure qui vient

la Rédaction

La lettre du 13 octobre 📨
Texte intégral (1423 mots)

La lettre du 13 octobre 📨

par Catherine Tricot et Pablo Pillaud-Vivien

Les motions sont déjà déposées. Les socialistes ont peur : une dissolution pourrait conduire le RN au pouvoir. Ils ont raison d’avoir peur, mais de là à rester en PLS…

Sébastien Lecornu a donc composé, en moins d’une semaine, son deuxième gouvernement. On y découvre des nouvelles têtes de la « société civile » tandis que les poids lourds politiques restent à la porte, à l’exception des remarquables Gérald Darmanin et Rachida Dati : on a les cadors qu’on mérite. Les ministres sont appelés à faire passer les arbitrages présidentiels auprès des députés. 

Le PS redoute qu’une dissolution ne conduise le RN au pouvoir, seul ou avec une partie des LR en alliés. La peur évacue-t-elle le danger ? Pourtant les socialistes hésitent et semblent vouloir gagner du temps : attendre le discours de politique générale de mardi. Aujourd’hui, ils ne parlent plus que de « suspension de la réforme des retraites » comme condition de leur abstention. Ils s’éloignent de leurs exigences initiales : abrogation de la réforme des retraites, imposition des plus riches, abandon du 49.3, revalorisation du SMIC et des petits salaires. Ce faisant ils suscitent incompréhension ; ils s’isolent de leurs partenaires de gauche qui tous ont annoncé leur intention de censurer. Et se coupent d’une bonne partie de la rue de gauche.

Alors que la prolongation du gouvernement Macron-Lecornu ne tient qu’à leur décision, en ne votant pas la censure qui vient, le PS abîmerait toute crédibilité à porter une alternative au marcronisme. Ce faisant, il retournerait à la case départ, celle d’un fort doute sur son appartenance à la gauche. Avec, en 2022, un résultat mémorable : 1,74%.

Des motions de censure sont d’ores et déjà déposées. Soit Sébastien Lecornu ne lâche rien sur les retraites… et les socialistes censurent. Soit il met sur pause et le plus probable est que la censure sera quand même votée au bénéfice des désaccords parmi les LR et chez Horizons pour qui la réforme des retraites est un marqueur identitaire. Le groupe LIOT ne sera pas, cette fois encore, homogène. Le gouvernement pourrait donc tomber quelque soit la décision du PS ! Si le parti à la rose s’abstenait, ce serait alors les plumes et le goudron. 

Viendrait une loi spéciale sur le budget puis une dissolution et des élections législatives express. Comme la peur n’évacue pas le danger, c’est à cette perspective que la gauche dans son ensemble doit se préparer. Sans perdre un instant.

Catherine Tricot et Pablo Pillaud-Vivien

🔴 NOBEL DU JOUR

Glucksmann félicite l’extrême droite vénézuélienne

La politique, c’est un monde de nuances. On peut légitimement contester le pouvoir autocratique de Nicolas Maduro, on ne peut pas porter aux nues l’extrême droite trumpiste comme alternative. C’est pourtant ce que vient de faire Raphaël Glucksmann, dans un tweet : « Bravo à Maria Corina Machado ! Et vive l’inlassable combat des démocrates vénézuéliens contre la dictature de Maduro ! » Lorsqu’elle a reçu son Nobel de la paix, elle s’est empressée d’adresser ses vœux à Donald Trump, ce dernier rapportant ses propos : « Je l’accepte en votre honneur, car vous le méritez vraiment ». Raphaël Glucksmann espère donc rassembler la gauche en jouant à fond la carte anti-Mélenchon, quitte à soutenir l’impérialisme prédateur américain – les menaces des États-Unis à l’encontre du Venezuela sont de l’ordre de l’invasion… Il y a deux jours encore, le Venezuela appelait l’Onu à agir contre une possible intervention armée.

L.L.C.

ON VOUS RECOMMANDE…


« Après la reconnaissance de la Palestine, quelles voies pour la paix ? » Nos confrères de Politis organisent, ce lundi soir au Petit Bain (Paris 13ème), une soirée débat/concert autour de la Palestine. Les invités du jour : la députée européenne Rima Hassan, l’avocat franco-palestinien Salah Hamouri et Céline Martelet, journaliste spécialiste du Moyen-Orient. La question qui anime ce moment est la suivante : alors que la France reconnaît désormais officiellement l’État de Palestine, la solution à deux États est-elle toujours une voie possible et crédible pour une paix durable ? Pour réserver vos places, suivez le lien !

C’EST CADEAU 🎁🎁🎁

Mesdames et messieurs, voilà ce que disait le nouveau ministre de l’éducation nationale lorsqu’il était directeur général de l’enseignement scolaire, en 2022 :

ÇA SE PASSE SUR REGARDS.FR

La dyssolution Macron — par tOad

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13.10.2025 à 11:25

La dyssolution Macron

tOad

Texte intégral (1423 mots)
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