Le premier ministre, déjà menacé par la censure sur le budget 2026, lance un « comité d’alerte » sur les finances publiques auquel il ne participe pas. Une énième « opération de communication », selon les oppositions, permettant au centriste de gagner du temps.
Le premier ministre lance aujourd’hui son « comité d’alerte » pour trouver 40 milliards d’économie. Une idée comme ça, suivant leur logique comptable : 40 milliards, c’est l’équivalent du budget de l’Éducation nationale. Pourquoi ne pas simplement supprimer le ministère ? Bienvenue en absurdie.
L’initiative du président de la République est symbolique mais positive. Elle suppose néanmoins un changement radical de politique au Proche-Orient : convaincre les principaux partenaires européens que des mesures de rétorsion contre Israël sont indispensables.