Le prêt de réparations à l'Ukraine se heurte à une vive opposition de la part de la Belgique, principal dépositaire des avoirs russes nécessaires à son financement, tandis que l'option de secours d'une dette commune exige l'unanimité – et la Hongrie a déjà dit non.
Le prêt de réparations à l'Ukraine se heurte à une vive opposition de la part de la Belgique, principal dépositaire des avoirs russes nécessaires à son financement, tandis que l'option de secours d'une dette commune exige l'unanimité – et la Hongrie a déjà dit non.