Les agents sont accusés d'avoir utilisé plus de 6 500 fois des fichiers judiciaires et administratifs de manière frauduleuse, au profit "d'individus impliqués dans des activités criminelles" et contre rémunération.
Les agents sont accusés d'avoir utilisé plus de 6 500 fois des fichiers judiciaires et administratifs de manière frauduleuse, au profit "d'individus impliqués dans des activités criminelles" et contre rémunération.