Retailleau a trouvé une nouvelle cible : les free-parties. Ces fêtes autogérées, déjà largement stigmatisées, pourraient bientôt valoir jusqu’à six ans de prison à leurs organisateurs.
Retailleau a trouvé une nouvelle cible : les free-parties. Ces fêtes autogérées, déjà largement stigmatisées, pourraient bientôt valoir jusqu’à six ans de prison à leurs organisateurs.