Ils étaient sept, accusés d’avoir tagué la façade du site de Thales à Gennevilliers, pour dénoncer la complicité de l’entreprise d’armement dans le génocide du peuple gazaoui.
Ils étaient sept, accusés d’avoir tagué la façade du site de Thales à Gennevilliers, pour dénoncer la complicité de l’entreprise d’armement dans le génocide du peuple gazaoui.