« Le Monde » a pu se rendre dans les zones particulièrement affectées par les inondations massives de 2022. La population, qu’elle ait fui vers les bidonvilles de Karachi ou qu’elle tente de survivre sur place, continue à payer le terrible prix de dérèglements climatiques dont elle n’est en rien responsable.
« Le Monde » a pu se rendre dans les zones particulièrement affectées par les inondations massives de 2022. La population, qu’elle ait fui vers les bidonvilles de Karachi ou qu’elle tente de survivre sur place, continue à payer le terrible prix de dérèglements climatiques dont elle n’est en rien responsable.