Malgré la mise en cause du seul survivant des commandos des attentats de novembre 2015, lundi 10 novembre, pour la possession d’une clé USB qui lui aurait permis d’avoir accès, dans sa cellule, à de la propagande djihadiste, ses avocats et ses proches dressent le portrait d’un homme qui aurait cheminé positivement ces dernières années.
Malgré la mise en cause du seul survivant des commandos des attentats de novembre 2015, lundi 10 novembre, pour la possession d’une clé USB qui lui aurait permis d’avoir accès, dans sa cellule, à de la propagande djihadiste, ses avocats et ses proches dressent le portrait d’un homme qui aurait cheminé positivement ces dernières années.