Une quarantaine de chercheurs internationaux établissent l’état de la connaissance sur ces produits, dont la consommation est associée à plus d’obésité, de diabète, de maladies cardio-vasculaires ou encore de dépression. Ils estiment que les pouvoirs publics doivent prendre des mesures de protection de la santé publique.
Une quarantaine de chercheurs internationaux établissent l’état de la connaissance sur ces produits, dont la consommation est associée à plus d’obésité, de diabète, de maladies cardio-vasculaires ou encore de dépression. Ils estiment que les pouvoirs publics doivent prendre des mesures de protection de la santé publique.