Dans le viseur de la justice française pour son soutien, en 2010, à la candidature victorieuse du Qatar au Mondial 2022, l’ancien patron de l’UEFA, dont la version est en partie fragilisée par certains éléments de l’enquête, ne décolère pas en privé contre Nicolas Sarkozy, sans pourtant le mettre en cause.
Dans le viseur de la justice française pour son soutien, en 2010, à la candidature victorieuse du Qatar au Mondial 2022, l’ancien patron de l’UEFA, dont la version est en partie fragilisée par certains éléments de l’enquête, ne décolère pas en privé contre Nicolas Sarkozy, sans pourtant le mettre en cause.