Pour ne rien perdre de la vie de leur progéniture, beaucoup de parents prennent des photos en permanence, si bien que le besoin de se réapproprier son image devient impérieux pour l’enfant. Pour la critique d’art Marion Zilio, l’enjeu n’est pas de couper les smartphones, mais d’ouvrir des espaces pour d’autres récits.
Pour ne rien perdre de la vie de leur progéniture, beaucoup de parents prennent des photos en permanence, si bien que le besoin de se réapproprier son image devient impérieux pour l’enfant. Pour la critique d’art Marion Zilio, l’enjeu n’est pas de couper les smartphones, mais d’ouvrir des espaces pour d’autres récits.