On ne peut négocier avec une entreprise qui a tiré profit de produits pédocriminels. Si le géant asiatique de l’e-commerce avait vendu du matériel servant à des actes terroristes, les serveurs seraient déjà saisis, les dirigeants interpellés. Mais quand il s’agit de violences sexuelles faites aux enfants, on tergiverse, déplore Arnaud Gallais, président de Mouv’enfants.
On ne peut négocier avec une entreprise qui a tiré profit de produits pédocriminels. Si le géant asiatique de l’e-commerce avait vendu du matériel servant à des actes terroristes, les serveurs seraient déjà saisis, les dirigeants interpellés. Mais quand il s’agit de violences sexuelles faites aux enfants, on tergiverse, déplore Arnaud Gallais, président de Mouv’enfants.