Venu de la droite, rallié au macronisme en 2017, le Premier ministre séduit une droite désabusée par François Bayrou. Le patron du parti, Bruno Retailleau, attend toutefois des gages sur l’immigration et «l’assistanat».
Venu de la droite, rallié au macronisme en 2017, le Premier ministre séduit une droite désabusée par François Bayrou. Le patron du parti, Bruno Retailleau, attend toutefois des gages sur l’immigration et «l’assistanat».