La soirée de levée de fonds, associée à la sphère catholique militante, a suscité une contre-manifestation jeudi 5 juin. Et veut se détacher du milliardaire d’extrême droite, un ancien parrain.
Entre la stratégie prudente d’Edouard Philippe, le jeu d’équilibriste de Gabriel Attal, les calculs de Gérald Darmanin et les coups de menton droitiers de Bruno Retailleau, chacun aiguise ses armes, entre hypothèses d’alliance et ambitions personnelles.