Les femmes exilées sont encore plus impactées que les autres par la baisse des financements publics, alerte Violette Perrotte, directrice de la Maison des femmes de Saint-Denis.
La violence d’État subie par les exilés à la frontière franco-britannique ne s'arrête pas aux lacérations de bateaux et à la saisie de tentes. Les policiers attaquent aussi l'association Human Rights Observers, qui documente ce harcèlement quotidien.