J'ai été formée à l’Académie des futurs leaders à Paris, en présentiel, à raison de 3 jours par semaine, pendant 5 mois, de janvier à juin 2024.
Veuillez trouver mon discours (4 minutes) de remise des diplômes, Académie des Futurs Leaders, Columbia Global Center, Paris
Le programme comprenait 350 heures de cours avec la participation de plus de 100 intervenants, experts, personnalités politiques et coachs. Les différents programmes de formation de l’Académie sont construits autour de 7 blocs thématiques.
Fondamentaux de la science politique
Communication politique et publique
Management et éthique en politique
Droit et fonctionnement des institutions politiques
Histoire et Fonctionnement des institutions
(Nouveaux) Enjeux démocratiques
Etat des lieux de la démocratie en France et dans le monde
Comprendre le populisme
Rôle des médias dans le dialogue démocratique
Comprendre les sondages
Narratifs politiques : les comprendre, les inventer
Faire campagne et gagner
Community organizing : les fondamentaux
Maîtriser son territoire
Comprendre les partis politiques et leurs mécanismes
Comprendre les équilibres de pouvoir
Digital campaigning
Nouveaux narratifs: Convaincre et persuader
Maîtriser son discours
Sociologie des médias
Rhétorique, Art oratoire et Média Training
Sémantique et sens des mots
« Storytelling » et Marketing politique
Gestion du risque médiatique
Relations presse et gestion des réseaux médiatiques
Sondages, outils d’étude et d’enquête
Trouver son narratif personnel
Les élections européennes de 2024
Comprendre les institutions européennes
Rôle d’un député européen
« Campaigning » européen
Enjeux de campagnes 2024
Les grands défis globaux
Développement et aide au développement
Géopolitique et Relations internationales
Climat / Environnement / Ecologie : les grands enjeux
Genre et inclusion
Grande précarité
Economie durable et systèmes financiers
Bien-être et santé mentale
Coaching collectif hebdomadaire: gestion des émotions
Coaching mensuel : déterminer et mettre en oeuvre sa stratégie d’impact
Neurosciences et impact de l’action collective
Psychologie positive et management
Alice Apostoly, 27 ans, Paris - Co-fondatrice et co-directrice de l'Institut du Genre en Géopolitique.
Emma Bertoin, 25 ans, Paris / Marseille - Militante éducative, ex co-directrice Trouve Ta Voix, consultante intelligence collective Bluenove
Félix Beaulieu, 38 ans, Paris - Co-fondateur de On Purpose & Enseignants de la Transition, consultant et enseignant en entrepreneuriat à impact.
Céline Ciéplinski, 48 ans, Montgeron - Coach, directrice d'association-fondation, experte en management associatif/stratégie/gouvernance
Lou-Jayne Hamida, 50 ans, Nice - Vice-présidente de la Fédération des Acteurs de la Solidarité
Magali Bragard, Saint-Denis - Fondatrice Mamama, colis solidaires d’urgence
Magdi Masaara, 33 ans, Paris - Militant et activiste politique, artiste, président et fondateur de l'association DURMONGAA Education pour tous, Soudan et Tchad. Membre de l'assemblée citoyenne de Paris
Mona Amirouche, Bobigny - Co-fondatrice et directrice générale de Banlieues School, Professeure d’économie
Nicolas Planty, 43 ans, Bordeaux / Dax - Fondateur de Lemon Adds, Membre du Pacte Civique
Rudi Osman, Paris - Fondateur de l’Union des Etudiants Exilés
Samaher Al-Hadheri, 28 ans, Paris - Militante pour la justice sociale, poète et chercheuse. Co-présidente de l’Union des étudiants exilés (UEE), consultante à l'UNESCO.
Souba Brunel, 37 ans, Paris - Entrepreneuse et activiste engagée pour la Justice climatique, fondatrice de l’association éco-féministe Les Impactrices
Valérie Paumier, 54 ans, Annecy - Présidente fondatrice de Résilience Montagne, sur la vulnérabilité des territoires de montagne et de leurs vallées face au réchauffement climatique.
Victoria Mure-Ravaud, 28 ans, Clermont-Ferrand - Architecte, engagée pour la rénovation énergétique et les transitions dans les territoires ruraux
J'exprime une infinie reconnaissance à Alice Barbe, Hind Guedira et Tetiana Baksheiva pour ce programme unique.
#politics #politique #AFL #academiedesfutursleaders #engagement #singafrance #resiliencemontagne #resilience #climat #climatechange #adaptation #media #valeriepaumier
Chers habitants et chères habitantes des vallées et des campagnes,
Chers agriculteurs et chères agricultrices,
Exploitants de remontées mécaniques,
Chers et chères élu(e)s,
C’est l'été dans les montagnes, en ville et dans les villages, dans les campagnes,… Mais le temps n’est pas à la sérénité et aux festivités.
Les territoires de montagne, les territoires ruraux, ont voté majoritairement Rassemblement National pour les Européennes. Certains territoires ont encore porté le RN en tête du premier tour des législatives.
Si les échos de désaccords, de résistances et de conflits de ces dernières années résonnent encore, les uns voulant construire, les autres voulant protéger, l’avenir de la montagne et des campagnes de notre pays, de nous toutes et tous, est en train de se jouer.
La vérité de ces désaccords est simplement que nous aimons nos territoires, que nous avons des valeurs.
Nous n’avons pas les mêmes solutions et vérités. Mais personne n’a tord ou raison, nous avons simplement envie du meilleur.
Vous façonnez, nous façonnons, par des actions de tous les jours, l’avenir de nos territoires.
Nous n’avons que très peu pu discuter, autour d’une table. Certains élus ne l’ont pas souhaité. Pourtant échanger, se rencontrer, réfléchir ensemble et avec bon sens sur notre avenir à tous est la base…
La peur des autres et des lendemains, sont très compréhensibles. Il est normal d’avoir des craintes et de ne pas trouver de réponses. Il est normal que les réponses ne satisfassent tout le monde.
Il est indéniable que l’essor économique phénoménal lié à l’or blanc fait parti de notre histoire. Et bien sûr, il est évident que cette activité économique unique est toujours un moteur pour les départements de montagne, un employeur direct et indirect majeur et une force structurante essentielle. Il est certains que les agriculteurs et les agricultrices nous nourrissent et sont essentiels à l’entretien de nos magnifiques paysages.
Mais voter Rassemblement National :
ne fera pas retomber la neige,
n'inversera pas la courbe des températures,
n’enrayera pas les coulées de boue et les crues torrentielles - comme celles qui ont emporté, ces derniers jours, le fabuleux village de la Bérarde et les vallées alpines en France, en Suisse et en Italie -,
ne permettra pas aux agriculteurs de vivre mieux,
ne donnera pas du fourrage aux bêtes,
ne permettra pas aux remontées mécaniques de générer plus de profits,
n’aidera pas les quartiers dits « difficiles »,
ne permettra pas d’offrir un emploi à ceux qui cherchent à travailler,
ne fera pas mieux vivre les anciens.
Le vote extrême droite ne fera que renforcer les violences et les discriminations, sans donner de réponses aux souffrances et questionnements.
Economiquement, Le RN prétend financer ses dépenses en fermant totalement les vannes de l’immigration ; or, de quoi parlons nous dans les territoires montagnards ?
Les étrangers étant celles et ceux qui nous honorent de leurs visites touristiques pour venir se ressourcer… Les étrangers étant ceux qui nous font vivre, qui achètent nos produits.
Nous ne sommes pas en insécurité comme le martèle le RN ! Si certaines petites villes de vallées peuvent sembler dangereuses, ce n’est pas la maltraitance et la haine qui nous aidera à aller mieux et à comprendre la souffrance des autres.
Ce n’est pas en réduisant les droits fondamentaux des femmes, des minorités, des agricultrices, en mettant des uniformes aux enfants dès le plus jeune âge, en nationalisant les chaînes d’information publiques, en ne favorisant que les bons élèves, en vantant un volet retraites irréalisable, en proposant un projet d’Etat mensonger… que nous irons tous mieux.
Ce n’est pas en cassant les défenseurs de la nature que nous pourrons nous comprendre.
Nous ne devons pas sanctionner la faillite de Macron en votant pour un parti raciste et dangereux, ce que représentent le Rassemblement National et l'union des droites.
Nous, terre de résistance, où nos aïeux se sont battus et sont morts pour que nous soyons libres, ne pouvons tolérer qu’un parti haineux salisse notre histoire.
Nous méritons mieux que cela.
Nous connaissons mieux que d’autres la solidarité, parce que « chez nous » il n’est pas toujours facile de vivre… nous avons toujours su nous adapter car nous savons aimer, nous sommes des résistants au sens joli du mot. Ne laissons pas des personnes qui ne portent que la haine de l’autre nous dicter notre conduite.
Mes aïeux se sont battus aux Glières, ils ont probablement connu vos aieux ici ou ailleurs ; ils se sont battus pour nos libertés, ensemble. Ils nous regardent. Soyons dignes.
Notre, votre projet de vie, doit être un projet de vie heureux, de joie, de lendemains qui chantent, d’espoirs et de bienveillance. Ayons confiance en nous !
Laissons la haine et la colère aux faibles.
Nous devrions nous engager POUR un projet, POUR l'espoir mais pour cela, nous devons cette fois encore voter CONTRE le danger.
Voter CONTRE est fatigant et anormal,
mais nous devons être CONTRE le RN et CONTRE l'union des droites, afin de plus tard être en mesure de voter POUR nos valeurs.
Gérons l’urgence en ne votant pas pour le Rassemblement National ! Et s’abstenir ne suffit pas. Votons CONTRE le RN et votons CONTRE l’Union des Droites.
Dès cet été, demandons d’être aux tables de décisions des élus, puis célébrons nos singularités, nos traditions, nos souvenirs tous ensembles sans haine, en paix.
Merci.
Les montagnes en Europe
Au niveau européen, l'ensemble des massifs de montagne concerne :
21 États membres de l'Union européenne,
35,69 % de la superficie
17,73 % de la population européenne, Suisse incluse.
Selon les définitions de la montagne, les montagnes représentent donc entre 30 et 40 % du territoire de l'Union européenne et entre 12 et 20 % de la population.
LA MONTAGNE DOIT AVOIR TOUTE SA PLACE DANS LES GRANDES POLITIQUES EUROPÉENNES
Les montagnes en France
Les montagnes occupent près de 30% du territoire.
La montagne c’est :
8 785 communes réparties dans 42 départements et 10 régions ;
des sites protégés : forêts protégées, espaces naturels, dont cinq parcs nationaux, une cinquantaine de parcs naturels régionaux et de réserves naturelles, réseau Natura 2000, notamment ;
une biodiversité très riche et variée ;
des sites touristiques (dont 350 stations de ski) ;
notre château d'eau douce ;
60 000 exploitations agricoles (18% des élevages de France) ;
des industries. Certaines zones, comme les bassins de Thiers, d’Oyonnax ou la vallée de l’Arve ont plus d’un tiers des salariés employés par un établissement industriel (Insee 2017).
Les Alpes
Les Alpes s’étendent sur une superficie de 190 959 km² et sont partagées entre huit États qui sont communément appelés « Pays Alpins » : l’Autriche, l’Italie, la France, la Suisse, l’Allemagne, la Slovénie et deux autres micro-États que sont Monaco et Liechtenstein.
Les Alpes françaises
La France dispose de 20,7 % de la superficie totale des Alpes. On les retrouve dans neuf départements à savoir : la Savoie et la Haute-Savoie, l’Isère, les Hautes-Alpes, les Alpes-de-Haute-Provence, la Drôme, le Vaucluse, le Var et les Alpes-Maritimes.
Les Alpes italiennes
En Italie, les Alpes sont présentes dans la partie nord du pays et plus précisément dans 5 régions : le Val d’Aoste, le Piémont, le Trentin-Haut-Adige, la Lombardie et la Vénétie. Elles s’étendent sur une superficie de 51.995 km2, soit 27,22 % de la superficie totale des Alpes. Parmi les monts les plus connus, il y a le Grand Paradis, le mont Blanc, Cervin, le Massif du mont Rose et les Dolomites.
Les Alpes d’Autriche
L’Autriche est un pays qui se trouve au cœur même des Alpes. On y retrouve 28,5 % de la superficie totale des Alpes. Le point le plus culminant des Alpes Autrichiennes est le Glockner et il a une hauteur de 3798 mètres. Il se situe entre la Carinthie et le Tyrol.
Les Alpes d’Allemagne
Encore appelées Alpes bavaroises, les Alpes du territoire allemand représentent 5,6 % de la superficie totale des Alpes.
Les Alpes en Suisse - hors contexte concernant les élections européennes mais à connaître dans un contexte global
La Suisse est un pays dans lequel on retrouve seulement 14 % de la superficie des Alpes, mais plusieurs des hauts sommets qui composent la chaîne de montagnes.
Autres pays
La Slovénie et les micro-États du Liechtenstein et de Monaco ne disposent que de 4 % des montagnes alpins. On les retrouve entre la Haute-Carniole et Frioul Vénétie julienne pour la Slovénie, entre l’Autriche et la Suisse pour Liechtenstein et le long de la côte d’azur pour Monaco.
Spécificité de Auvergne Rhône Alpes
Avec 70 % de son territoire situé en montagne, Auvergne-Rhône-Alpes est la plus grande région de montagne d’Europe. Les 2/3 de la région sont classées en zone de montagne, dont 10% en haute montagne, et plus d’1/3 de sa population vit en zone de montagne.
Impacts du changement climatique : Montagnes et Glaciers
Sentinelles du climat, les montagnes se réchauffent deux fois plus vite. Dans les Alpes et les Pyrénées françaises, la température a déjà augmenté de +2°C au cours du 20ᵉ siècle, contre +1,4°C dans le reste de la France (source Météo France).
IL EST URGENT DE REDUIRE L’IMPACT DU RECHAUFFEMENT EN MONTAGNE ET D’ACTIVER UNE POLITIQUE EUROPEENNE D’ANTICIPATION, DE PLANIFICATION ET D’ADAPTATION, TRES FORTE !
Le réchauffement climatique accélère :
la fonte des glaciers et la hausse de température du permafrost (ou pergélisol). Ces deux phénomènes ont des conséquences sur la stabilité des versants mais aussi sur l'étendue des lacs glaciaires (possibilités de crues, de glissements de terrain et d'avalanches dans des secteurs jusque-là épargnés) ;
les atteintes à la biodiversité : hausse du risque d’extinction des espèces adaptées au froid et apparition d'espèces venant de climats plus chauds (GIEC). En haute montagne, 44 espèces animales et 186 espèces de flore sont menacées ;
la modification de la gestion de l'eau. Avec la diminution de l'enneigement (la neige stocke l'eau pendant l'hiver, l'eau est rendue disponible au printemps lors de la fonte), se pose la question de la disponibilité de la ressource en eau ;
la mortalité des forêts, avec un assèchement des arbres et des sols, une hausse des incendies, une augmentation des ravageurs et des champignons.
Ces phénomènes bouleversent directement les activités humaines.
Les activités humaines ont elles aussi des effets dommageables sur l'environnement. "La création de stations de sports d'hiver a engendré de gros bouleversements dans le paysage : aménagement de tunnels et de routes, construction d'hébergements et équipement de domaines skiables", souligne l'Office français de la biodiversité (OFB). Terrassements et damage des pistes détruisent la végétation naturelle et empêche l'infiltration des eaux de pluie. La pratique de certaines activités d'été (luge ou VTT) entraînent l'érosion des sols.
Le "tout ski" ne peut plus être une stratégie de développement pour la montagne. Une stratégie d’adaptation différenciée suivant les stations, les massifs et leurs enjeux propres est urgente.
Pour rappel, les équipement d'une station sont mesurés en « taux de couverture » de neige artificielle. En Auvergne- Rhône-Alpes, ce taux est de 45% avec pour objectif à court terme d'atteindre les 70%, selon le plan Montagne de Laurent Wauquiez. Actuellement, la neige artificielle recouvre 35% des pistes de ski françaises.
En France, 10 millions de m3 d'eau étaient consommés en 1999/2000 pour fabriquer de la neige artificielle. Au niveau des Alpes françaises, ce sont aujourd'hui entre 20 et 25 millions de mètres cube par an qui sont consommés pour la neige artificielle, soit, selon France nature environnement, la consommation en eau d'une ville comme Grenoble.
Dans la réalité, les politiques d’Etat, régionales, départementales et locales continuent d’investir dans le tout ski, pour preuve, le projet de Jeux Olympiques 2030, à rebours des enjeux climatiques globaux.
CE QUI DEVRAIT ETRE FAIT en MONTAGNE :
️ se décorréler du tourisme et de la mono activité du ski
️ stopper les constructions neuves
stopper les investissements qui confortent le modèle du ski
⚡️ réhabiliter les logements anciens
adopter une gestion forestière adéquate
définir un usage de l’eau intégrant des priorités et une hiérarchie
⛪️ repeupler les villages à l’année
- consommer local
- changer les politiques fiscales en matière de logement
- organiser des moratoires par territoires avec des “médiateurs” neutres
- penser et réfléchir global, sur l’axe transalpin pour harmoniser les lois, les enjeux, les priorités en matière de biodiversité et d’écosystèmes
LES MONTAGNES, L’EUROPE et les VOTES des député(e)s
LA GAUCHE SOCIALE-ÉCOLOGIQUE est à la hauteur des enjeux en montagne : les députés français se sont révélés très à la hauteur des enjeux. Dans l’ordre de crédibilité on retrouve :
- Marie Toussaint
- Manon Aubry
- Raphaël Glucksmann
LE RASSEMBLEMENT NATIONAL ET LES RÉPUBLICAINS proposent, votent et financent des projets qui aggravent et aggraveront la vulnérabilité des territoires de montagnes ; ces partis, en France, poussent par exemple le projet de Jeux Olympiques 2030 dans les Alpes. Ces partis favorisent les politiques de NON adaptation qui aggravent la dévastation des montagnes. Jordan Bardella et François-Xavier Bellamy sont à l’envers des enjeux, enfermés dans le déni climatique, en se montrant sourds à la science et en s’opposant à la protection des montagnes et donc des habitantes et des habitants.
LE GROUPE RENAISSANCE a compris les enjeux mais n’agit pas. En n’agissant pas, ils empirent la situation et retardent la planification et l’anticipation en montagne. Valérie Hayer, leader de Renaissance et présidente du groupe libéral Renew, n’agit pas et montre que le groupe Renew ne constitue pas une alternative crédible et déterminée afin de défendre la protection de la nature et des montagnes.
Bon Pote
Actu-Environnement
Amis de la Terre
Aspas
Biodiversité-sous-nos-pieds
Bloom
Canopée
Décroissance (la)
Deep Green Resistance
Déroute des routes
Faîte et Racines
Fracas
France Nature Environnement AR-A
Greenpeace Fr
JNE
La Relève et la Peste
La Terre
Le Lierre
Le Sauvage
Low-Tech Mag.
Motus & Langue pendue
Mountain Wilderness
Negawatt
Observatoire de l'Anthropocène
Reporterre
Présages
Reclaim Finance
Réseau Action Climat
Résilience Montagne
SOS Forêt France
Stop Croisières