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Océans et mers recouvrent 70% de notre planète et représentent 97% de l’eau sur Terre. Ils contribuent à la régulation du climat, nous nourrissent et abritent une biodiversité très importante.
Or, l’élévation du niveau de la mer s’est accélérée ces dernières décennies en raison de la fonte des glaces et de la dilatation thermique de l’eau des océans. Selon les dernières données de l’Organisation météorologique mondiale, le niveau mondial moyen de la mer est monté en moyenne de 4,5 millimètres par an sur la période 2013-2021.
Cela a de multiples conséquences parmi lesquelles celles d’intensifier les cyclones tropicaux, de multiplier les tempêtes mortelles ou de redessiner les traits de côtes, voire de faire disparaître des îles entières. Les courants marins sont perturbés et interagissent alors avec le climat en aggravant le dérèglement. Un continent de plastique, des micro-plastiques, de la surpêche, un trafic maritime sans fin, l’exploitation des ressources marines et sous-marines vont nous priver des équilibres induits par les océans. Mieux les protéger est un impératif.
Nos invités :
● Swann Bommier Directeur du plaidoyer Bloom
● Joachim Claudet – CNRS – Centre de recherche insulaire et observatoire de l’environnement
● Guillaume Sainteny – président du Plan Bleu pour l’environnement et le développement en Méditerranée
● Marina Lévy – CNRS – Conseillère océan auprès de la présidence de l’IRD, co-autrice de L’océan en 30 questions (ed. Documentation française)
Cette table ronde était animée par Isabelle Vauconsant et Carine Mayo, journalistes.
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La démocratie subit les assauts de l’extrême-droite, la désillusion liée à l’exercice du pouvoir des partis politiques aux affaires depuis des décennies et, corollaire, la perte de confiance dans les institutions.
En matière environnementale, c’est encore plus vrai peut-être, alors que seul le processus démocratique permet de s’assurer l’acceptabilité de mesures qui vont s’avérer de plus en plus contraignantes face à la situation qui se dégrade très rapidement. L’appel à la construction d’une démocratie différente vient des rangs militants pour le respect de la nature et de tous les vivants.
On accuse parfois la démocratie de prendre trop de temps. Mais, comme nous l’a dit un jour Éric Gauthier, à l’initiative de l’expérimentation de Sécurité sociale de l’alimentation de Cadenet dans le Vaucluse : « Comme nous n’avons plus le temps de nous tromper, prenons celui de faire les choses de façon à ce qu’elles marchent bien du premier coup. »
Pour parler d’expériences démocratiques inventives, nous avons reçu :
● Danièle Bacheré, de l’Oasis du Coq à l’Ame
● Nora Guelton, responsable de la communication de la Coopérative Oasis
● Jérémy Dumont, du collectif Nous sommes vivants
● Antoine Gaillard, membre de l’Atelier paysan, du Collectif SSA et administrateur de la Fédération des Associations de Maintien d’une Agriculture Paysanne de Picardie (FAMAPP)
Cette table ronde animée par Isabelle Vauconsant et Carine Mayo, journalistes.
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Lanceur d’alerte infatigable, Fabrice Nicolino livre ici une démonstration implacable sur les pollutions qui menacent notre eau potable et le vivant. Car les contaminations sont nombreuses : dans les nappes phréatiques, les rivières et même l’eau de pluie ! Principale accusée, la chimie de synthèse et toutes ses déclinaisons : polluants « éternels » (PFAS), pesticides, microplastiques, médicaments, composants des cosmétiques…
Le constat est glaçant : la pollution est partout et il est illusoire de miser sur la seule dépollution pour s’en sortir. Ce serait trop compliqué à mettre en œuvre, trop cher… La seule solution, c’est de ne plus polluer l’eau. « L’eau doit devenir sacrée » écrit Fabrice Nicolino. Ce qui implique également de lutter contre le gaspillage, de remettre en cause l’explosion des data-centers, les méga-bassines, les centrales nucléaires… et les politiques qui encouragent l’industrialisation à marche forcée et ferment les yeux.
Un brin utopiste ? Certes, mais pas question de se lamenter sans rien faire. De sa plume alerte, vivifiante, le fondateur du mouvement des Coquelicots rend limpide des données scientifiques parfois arides et interpelle le lecteur citoyen. Un appel à l’action qui invite à ne pas baisser les bras.
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Éditions Les Liens qui Libèrent (LLL), 298 pages, 19 € – www.editionslesliensquiliberent.fr
Contact presse : Anne Vaudoyer. Tél. : 06 63 04 00 62 – annevaudoyer@gmail.com
(Carine Mayo)
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« Le 23 mars, à 19 heures, j’ai perdu mon chat gris sur le parking de l’Éléphant bleu, dans le port de Nantes. Ni paysage, ni quartier, on ne peut imaginer pire lieu pour égarer son compagnon à coussinets. » Sujet et décor sont ainsi brossé dès les deux premières phrases. Ajoutons juste que l’évènement se situait à 220 km du domicile de Neko et de notre consœur Catherine Levesque.
Avec sa jolie écriture, toujours très précise, l’autrice raconte avec beaucoup d’humour sa quête pour retrouver son chat. Elle va et retourne et retourne encore dans ce no man’s land inhospitalier. Rencontres improbables, faux espoirs, Catherine poursuit vaille que vaille ses recherches. Parfois, elle imagine ce qui peut bien se passer dans la tête de Neko privé de l’affection de ses Deux-Pattes et de cette maison confortable où la nourriture coulait à flot. Elle imagine aussi sa vie de chat errant néophyte, pas simple ! Pour peu, que comme moi, un jour vous ayez perdu, chercher avec pugnacité et retrouver votre chat après des semaines, le récit de Catherine aura un effet miroir certain ! Et que dire de ce moment de pure béatitude réciproque au moment des retrouvailles !
Le livre a été supervisé par l’éthologue Jessica Serra qui a écrit la préface. En annexe, Catherine Levesque donne quelques informations pratiques destinées aux propriétaires de chats : identification, que faire et où s’adresser si on perd son chat, que faire et où s’adresser si l’on trouve un chat. Enfin, le livre se termine par le texte de Chat de Brigitte Fontaine.
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Éditions Cité des Livres, 104 pages, 19,80 € – citedeslivres.com
Contact presse : Marion Mouton. Tél.: 06 80 22 27 04 – mariom.presse@gmail.com
(Danièle Boone)
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L’article En attendant Neko par Catherine Levesque (JNE) – préface Jessica Serra est apparu en premier sur Journalistes Écrivains pour la Nature et l'Écologie.
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