La semaine dernière, un journaliste du magazine « The Atlantic » avait été intégré à un groupe de discussion Signal où les plus hauts responsables de l’administration américaine évoquaient des frappes à venir.

Le président français a également appelé ce jeudi à ce que « les investissements à venir ou annoncés ces dernières semaines soient un temps suspendus ».

Le président américain a jugé jeudi soir que la condamnation de la leader du RN était une « chasse aux sorcières » pour l’empêcher de se présenter à la présidentielle de 2027 après avoir appelé à sa « libération ».

« La conséquence la plus visible a été… la guerre », rappelle Michel Musolino, auteur des « Géants de la pensée économique » (Perrin), après l’annonce par le locaire de la Maison-Blanche de l’imposition de nouvelles taxes de 10 % à 50 % sur les produits importés aux Etats-Unis.

Dans les quartiers conservateurs de la mégapole du Bosphore, loin des manifestations des dernières semaines, le « reis », ultra-populaire, est vu comme un « super gars », en rien responsable des maux qui frappent la Turquie.

Avec la crise du marché, les promoteurs ont souvent des « queues de programme » à commercialiser, sur lesquelles ils peuvent se résoudre à consentir des rabais. Que se cache-t-il derrière ces bonnes affaires ?