Le collectif #NousToutes a réalisé une grande enquête sur le traitement médiatique des féminicides entre 2017 et 2022. Entretien avec Marie Fuentes, membre de #NousToutes.
Après la défaite de Kamala Harris, les voix critiques de son parti pointent son « progressisme », l’absence de considération des classes populaires et le coût de la vie aux États-Unis. Les positions centristes de la candidate pour convaincre les électeurs indécis n’ont pas suffi.
Nous redoutons Donald Trump, et nous avons raison. Pour ses 75 millions d’électeurs, quelque chose inquiétait davantage que cet agresseur sexuel, despote en puissance, propagateur de fake news. La défaite de Kamala Harris a de quoi alimenter bien des débats à gauche.
Après le choc de la réélection de Donald Trump, la gauche états-unienne pourrait sembler exsangue. Surtout après les compromissions de la campagne aseptisée, jugée trop centriste, de Kamala Harris. Pourtant, rebondir semble encore possible pour nombre de progressistes outre-Atlantique.
La victoire du candidat républicain donne du grain à moudre au personnel politique qui manie la peur, l’insulte et le complotisme pour faire avancer ses idées réactionnaires.
La chasse à l’homme à laquelle se sont livrés des jeunes propalestiniens à l’encontre des supporters du Maccabi Tel-Aviv dans les rues de la capitale néerlandaise, le 8 novembre, est-elle ou non une manifestation d’antisémitisme ? L’interprétation des événements ne peut être exclusive.