Confrontés à la hausse des attaques de rennes par des loups, les éleveurs finlandais pointent du doigt la Russie, dont la guerre contre l’Ukraine aurait permis au prédateur, moins chassé, de proliférer et de traverser la frontière. Une théorie qui fait écho à une “hostilité” à l’égard des Russes en Finlande mais que certains faits viennent étayer, raconte un reportage de la chaîne américaine CNN.
Confrontés à la hausse des attaques de rennes par des loups, les éleveurs finlandais pointent du doigt la Russie, dont la guerre contre l’Ukraine aurait permis au prédateur, moins chassé, de proliférer et de traverser la frontière. Une théorie qui fait écho à une “hostilité” à l’égard des Russes en Finlande mais que certains faits viennent étayer, raconte un reportage de la chaîne américaine CNN.