Contrairement aux crèches de Noël, depuis toujours beaucoup plus multiethniques, l’image du vieux bonhomme joufflu, à la barbe, mais aussi la peau blanche, paraît inamovible. “Lentement mais sûrement”, les choses changent cependant, se réjouit “Le Devoir”, qui constate que les pères Noël noirs sont de plus en plus nombreux au Québec, et surtout aux États-Unis.
Contrairement aux crèches de Noël, depuis toujours beaucoup plus multiethniques, l’image du vieux bonhomme joufflu, à la barbe, mais aussi la peau blanche, paraît inamovible. “Lentement mais sûrement”, les choses changent cependant, se réjouit “Le Devoir”, qui constate que les pères Noël noirs sont de plus en plus nombreux au Québec, et surtout aux États-Unis.