De nouvelles discussions, annoncées par le principal négociateur ukrainien, intègrent cette fois-ci les Européens, alors que les précédentes étaient restreintes à l'échelle bilatérale.
Le tribunal judiciaire de Paris a jugé la demande de blocage provisoire du site formulée par l'Etat "disproportionnée" après que le géant asiatique a retiré de la vente les produits illicites controversés.