Une enquête à été ouverte le 19 décembre par le parquet de Paris, concernant un site nationalisé qui était auparavant exploité par une filiale du groupe français Orano (ex-Areva).
Ce scrutin contrôlé par l'armée a débuté dimanche, même s'il est très critiqué à l'international. Plusieurs partis ont été dissous et aucun bureau de vote n'est actif dans les zones rebelles.