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14.12.2025 à 15:43

Au Poste recrute un.e comunity manageur·euse

David Dufresne

Au Poste, média indépendant 100% Live & Libre: 100% Live & Libre. Adonnez-vous! ► http://www.auposte.fr/dons

Au Poste, média indépendant et critique, cherche un·e Community Manager engagé·e pour animer ses réseaux. Missions : relayer nos productions avec un ton offensif, créer des formats interactifs (lives, threads, stories), et collaborer avec l’équipe éditoriale pour adapter les contenus à chaque plateforme.

Au Poste, média indépendant 100% Live & Libre - Parole libre. Direct long. Société en face. Sans montage. Sans formatage. Sans milliardaire. Pour les libertés et le débat à gauche.

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Missions principales

Animer et fédérer notre communauté sur les réseaux sociaux (Mastodon, Bluesky, Instagram, TikTok, Youtube, Facebook) en relayant nos productions (vidéos, articles, bulletins) avec un ton offensif et accessible.

Créer des formats engageants : lives, threads, stories, pour mettre en avant nos sujets (luttes, écologie, antifa) et interagir avec notre audience.

Collaborer avec l’équipe éditoriale pour adapter les contenus aux spécificités de chaque plateforme.

Veiller et réagir à l’actualité des mouvements sociaux et des sujets couverts par Au Poste, en proposant des angles de communication réactifs.

Profil :

  • Expérience en community management, idéalement dans un média militant, associatif ou engagé.
  • Connaissance des enjeux sociaux, politiques et écologiques que nous couvrons.
  • Maîtrise des outils de création et des réseaux sociaux.
  • Capacité à écrire des textes percutants, adaptés à chaque plateforme.

Modalités :

  • Contrat : pigiste ou freelance (à discuter).
  • Localisation : Télétravail, points réguliers à Paris.

Comment postuler ?

Les candidatures sont à envoyer à https://www.auposte.fr/contact-et-support

  • Un CV et une lettre de motivation précise (notamment ce que le/la postulant·e pense concrètement d’Au Poste, comment il/elle s’y verrait, etc) ?
  • Des exemples de contenus que vous avez créé (posts, threads, visuels, etc.).
  • Quelques idées pour animer notre communauté autour d’un de nos sujets phares (ex : un bulletin sur les luttes écologiques).

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12.12.2025 à 07:22

Françoise d’Eaubonne, «sale conne» et pionnière écoterroriste

Nora Bouazzouni

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Françoise d'Eaubonne a posé des bombes, inventé l’écoféminisme et écrit sans relâche.
Longtemps oubliée, elle revient aujourd’hui au cœur des débats politiques.
David Dufresne raconte une enquête familiale devenue traversée historique.
Archives policières, journaux intimes, luttes radicales et joie subversive.
Une vie passée à secouer l’ordre établi, sans jamais renoncer à la liberté.

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Texte intégral (2559 mots)

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Sur Françoise d’Eaubonne, certains, certaines, savent qu’elle est celle qui a pensé et nommé l’éco-féminisme, reliant l’oppression patriarcale des femmes et l’exploitation capitaliste de la Terre. Mais qui sait qu’on lui doit aussi le mot de phallocrate ? Qu’elle a monté un comité saucisson dans le cadre de la lutte pour le droit à l’IVG ? Qu’elle s’était engagée dans la Résistance, puis au PC qu’elle quittait en 1956? Qu’elle a participé à l’occupation de l’Odéon en 1968, au Front Homosexuel d’Action Révolutionnaire au début des années 70, et qu’elle a même… posé une bombe à Fessenheim ! Sacré nana ! Mais aussi « impossible grand-mère » comme le dit le sous-titre du livre que lui consacre David Dufresne.

A l’animation: Nora Bouazzouni et Mathilde Larrère. Pour parler des luttes des années 1960-80, sociales, féministes, écologiques, LGBT, convergence ou complémentarité des combats ? On a discuté répertoire d’action (violence ou non violence ? comment faire de la lutte une fête ?). On a posé la question des sources pour écrire l’histoire de cette femme (« écrire avec Françoise plutôt que sur Françoise » dit David Dufresne), de ce que peut être une « enquête intime ». Et surtout, on s’est demandé que nous apprend la vie de Françoise d’Eaubonne, ce qu’elle nous lègue pour essayer, aujourd’hui, de continuer le combat et ne pas se laisser abattre.
Mathilde Larrère

Dernière ligne droite : votre don compte double en décembre

Décembre, pour Au Poste, est un mois décisif, celui où se joue une part de notre indépendance éditoriale et où votre soutien compte double, grâce à la réduction fiscale valable jusqu’au 31 décembre. Il nous manque 25.000 € pour boucler l’année.

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Soutenir Au Poste, c’est financer du temps : préparer des émissions exigeantes, documenter les luttes sociales, donner la parole aux invisibles. C’est garantir un espace affranchi des pressions, où l’on interroge et où l’on dérange — parce que c’est notre rôle.

Le 31 décembre approche. Après cette date, plus de réduction fiscale de 66 %. Décembre est le moment où l’on décide quels médias continueront à tenir debout.

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La rencontre avec Dufresne David

  • David Dufresne explique que ce livre n’est ni une autobiographie déguisée ni un simple récit familial, mais le résultat d’un moment précis de sa vie où il s’autorise enfin à regarder en arrière. Il affirme qu’« il fallait basculer dans un âge qui commence à être avancé » pour pouvoir « regarder dans le rétroviseur », tout en précisant qu’il n’a jamais voulu écrire « un livre sur l’héritage » mais bien sur « l’activiste Françoise d’Eaubonne ».
  • La figure de Françoise d’Eaubonne est présentée comme celle d’une rupture radicale avec son milieu d’origine, marqué par le maréchalisme. Dufresne insiste sur ce moment fondateur où, malgré son attachement à sa famille, « elle va rejoindre la résistance » et « briser l’héritage » idéologique de ses parents, décrivant cette décision comme « une rupture idéologique » qu’il juge « absolument admirable ».
  • Le travail sur les archives policières révèle moins la personnalité de Françoise d’Eaubonne que le regard biaisé de l’institution qui la surveille. Dufresne souligne le caractère misogyne et approximatif de ces documents, citant cette note où elle est désignée comme « Françoise Piston-d’Eaubonne, qui se dit écrivain », et rappelant que ces archives sont « très souvent à côté de la plaque » mais précieuses pour comprendre « l’état d’esprit policier ».
  • Les journaux intimes de Françoise d’Eaubonne constituent un matériau central mais parfois éprouvant, notamment lorsqu’ils abordent sa sexualité et sa vie intime. Dufresne reconnaît que « la sexualité de Françoise, de ma grand-mère, c’était pas ce que je cherchais », tout en expliquant qu’il s’est senti autorisé à écrire parce qu’il a compris qu’« elle brûlait d’envie que tout ça soit raconté » et qu’« elle désigne différentes personnes comme biographes ».
  • La violence politique de Françoise d’Eaubonne est replacée dans son contexte historique et pensée comme une réponse à la violence institutionnelle. Dufresne rappelle qu’elle revendique une « contre-violence » et qu’elle sait d’expérience que « le terroriste de l’un est le résistant de l’autre », notamment parce qu’« on a imposé le tout nucléaire sans débat » et que « le vernis démocratique a craqué ».
  • Les sabotages de Fessenheim sont décrits comme un acte politique réfléchi visant à provoquer un débat public, et non comme une recherche de destruction aveugle. Le communiqué qu’elle rédige affirme explicitement : « Nous avons pris toutes les précautions possibles pour que ne soit menacée aucune vie humaine », dans l’espoir « d’arrêter ou retarder le fonctionnement de cette centrale », acte qu’elle qualifiera plus tard de « sommet de ma vie ».
  • La joie apparaît comme un moteur essentiel de l’engagement de Françoise d’Eaubonne, indissociable de sa conception de la liberté. Dufresne insiste sur cette dimension souvent oubliée, rappelant qu’elle chantait, riait, racontait des histoires, et qu’elle résumait son désir posthume en deux phrases : « qu’est-ce qu’on s’est marré avec elle » et « si j’ai pu aider quelques-uns à être un peu plus libre ».
  • L’oubli durable de Françoise d’Eaubonne est expliqué par son refus des institutions et des structures de pouvoir. Dufresne note qu’« elle n’est protégée par aucun parti », qu’« elle n’a pas de diplôme universitaire » et qu’elle a souvent été « trop écolo pour les féministes et trop féministe pour les écolos », un positionnement qui a contribué à son effacement avant son retour récent dans le débat public.

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11.12.2025 à 10:00

Appel aux ministres de la justice et de l’intérieur : respectez la liberté de la presse, renforcez le secret des sources

David Dufresne

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Il y a près d’un an, 110 médias et organisations interpellaient le gouvernement pour réclamer une réforme de la loi de 2010 relative à la protection du secret des sources des journalistes. Les contours flous de ce texte et l’absence de véritables garde-fous ont facilité des atteintes à la liberté de la presse depuis 15 ans. Pour rappel, au moins 27 journalistes ont été convoqué·es ou placé·es en garde à vue par la direction générale de la sécurité intérieure (DGSI), selon un décompte réalisé par le journal Télérama.

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Texte intégral (1909 mots)

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Depuis notre courrier, les intimidations contre la presse n’ont pas cessé : elles ont franchi un cran supplémentaire. Alors que l’État français a été condamné en 2023 pour l’arrestation illégale d’un journaliste couvrant une action écologiste, la police a à nouveau reçu l’ordre d’interpeller et placer en garde à vue, le 1er juillet, le journaliste Enzo Rabouy quinze jours après qu’il a couvert une action militante en marge du Salon du Bourget.

Le parquet général poursuit également son acharnement contre Ariane Lavrilleux, la journaliste de Disclose et membre du groupe de travail sur le secret des sources à l’origine de cet appel. L’AFP nous apprend que le parquet général de la cour d’appel de Paris a fait appel de la décision de non-lieu rendue par la juge d’instruction. Alors que la justice a reconnu l’intérêt public des révélations de Disclose sur l’opération militaire secrète de la France au profit de la dictature égyptienne, la journaliste pourrait être renvoyée devant un tribunal, plus de deux ans après avoir subi une garde à vue, une perquisition et des mesures disproportionnées de surveillance.

«Le secret des sources n’existe plus»

Une autre procédure judiciaire vise le journaliste Philippe Miller, à la suite d’une plainte pour vol de données déposée par un cabinet d’avocat dont le journaliste avait relaté les pratiques douteuses. Pour contester la saisie de son ordinateur et matériel professionnel, Philippe Miller a tenté d’opposer le secret des sources. Mais la juge des libertés et de la détention a validé l’atteinte au secret des sources, en considérant que la simple existence d’une enquête pénale relevait bien d’un “impératif prépondérant d’intérêt public”. Si n’importe quelle enquête pénale permet de lever le secret des sources, ce dernier n’existe plus.

Enfin, les vidéos policières révélées par Libération et Mediapart démontrent que les forces de l’ordre déployées à Sainte-Soline ont multiplié les tirs illégaux et ont visé, en toute connaissance de cause, des journalistes qualifiés de “pue-la-pisse”. Lors des manifestations du 10 septembre, Reporters sans frontières a recensé sept cas de journalistes entravés physiquement, dont certains blessés par des éclats de grenade. Le 17 novembre, plusieurs journalistes de Reporterre, Blast et Libération ont été violentés par les forces de police et gazés à bout portant alors qu’ils couvraient une action de désobéissance civile menée par plusieurs ONG sur le site normand du géant de l’agrochimie BASF.  

Ces attaques inacceptables dans un État de droit sont le résultat d’une année d’immobilisme du gouvernement. Qu’est devenue la promesse de Rachida Dati, lors des États généraux de l’information, d’un projet de loi qui garantit le droit à l’information ? Ce projet est pour l’heure gardé secret.

Projet de loi sur les médias : un débat public est nécessaire

Le groupe de travail avait été reçu en février par le cabinet du premier ministre, puis au début de l’été par le ministère de la justice afin de discuter de nos propositions et de remettre une note d’analyse détaillée sur leur application concrète. Pour rappel, nous voulons :

– Mieux encadrer les conditions de la levée du secret des sources, qui est aujourd’hui possible dans le cas, mal défini, d’un « impératif prépondérant d’intérêt public »

– Exiger une autorisation par un·e juge indépendant·e avant toute levée du secret des sources – Étendre le secret des sources aux collaborateur·ices de médias, réalisateur·ices et auteur·ices de livres ou documentaires

– Permettre à tou·tes les journalistes de se défendre face à une violation du secret de leurs sources, en créant une voie de recours

– Renforcer les voies de recours et sanctions en cas de violation du secret des sources

La protection des sources n’est pas une coquetterie corporatiste. Elle est “la pierre angulaire de la liberté de la presse”, la condition indispensable d’un droit effectif à l’information de toute la population. Il est donc urgent que le projet de loi donne lieu à un débat public, ouvert et parlementaire le plus rapidement possible. 

Par cet appel auquel se joignent 128 médias, sociétés de journalistes, syndicats et organisations, nous réclamons également aux ministres de la justice et de l’intérieur qu’ils formulent, dès à présent, des instructions écrites aux fonctionnaires afin de faire respecter la liberté de la presse telle qu’encadrée par la loi de 1881, ainsi que par la jurisprudence des tribunaux français et celle de la Cour européenne des droits de l’Homme. 

Le groupe de travail sur la protection des sources à l’origine de cet appel

Sherpa, Fonds pour une presse libre, Reporters Sans Frontières, Association de la presse judiciaire, Disclose, SNJ et CFDT-Journalistes.

Les 131 premiers signataires de l’appel:



25 sociétés des journalistes ou rédactions

SDJ de l’AFP

SDJ du Parisien-Aujourd’hui en France

SDJ Epsiloon

SDJ de Radio France

SDJ de Radio France Internationale

SDJ FranceTV Sport

SDJ France 3 rédaction nationale

SDJ Le Figaro

SDJ de LCI

SDJ de Capital

SDJ Les Echos

SDJ de Mediapart

SDJ Groupe Profession Santé

SDJ d’Arte

SDJ de L’Informé

SDJ de RMC

SDJ du magazine GEO

SDJ Que choisir

SDJ La Tribune

SDJ d’Arrêt sur images

SDJ Konbini

SDJ de Challenges

Société des rédacteurs du Monde

Société des journalistes et du personnel de Libération

Société des personnels de l’Humanité

7 Collectifs de journalistes indépendant·es

Collectif We Report

Collectif Hors Cadre

Collectif La Claque

Collectif Focus

Collectif Presse-papiers

Collectif Youpress

Profession Pigiste

63 Médias indépendants

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L’Arrière-Cour

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36 Syndicats, associations et club de la presse

SNJ (Syndicat national des journalistes)

CFDT-journalistes

Filpac cgt

Fédération européenne des journalistes (FEJ)

Spiil (Syndicat de la presse indépendante d’information en ligne)

Fonds pour une presse libre

Sherpa

Reporters sans frontièresAssociation de la presse judiciaire

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Conseil de déontologie journalistique et de médiation (CDJM)

Attac France

Transparency International France

LDH (Ligue des droits de l’Homme)

Syndicat des avocats de France (SAF)

Fonds de dotation Intérêt à agir

Maison des lanceurs d’alerte

Alertes.me

Femmes journalistes de sport

Journalistes écrivains pour la nature et l’écologie (JNE)

Profession Pigiste

Nothing2Hide

Observatoire des Libertés Associatives

Club de la presse de Marseille-Provence

Club de la presse Strasbourg-Europe

Club de la presse de Metz

Club de la presse de Bretagne

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