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09.10.2025 à 12:51

Triple meurtre à Angers: procès renvoyé car la condamnation était écrite avant le verdict

FRANCE24

Le procès a été renvoyé à la demande d'avocats de la défense et de certaines parties civiles, qui ont plaidé le "doute sur l'impartialité" du président de la cour, Xavier Lenoir, après la lecture du document reprenant la liste des questions auxquelles magistrats et jurés devaient répondre. Ce document mentionnait la condamnation de l'accusé à la "réclusion criminelle à perpétuité". "Cet élément est un dysfonctionnement que j'assume", a déclaré dans la matinée le président de la cour d'assises du Maine-et-Loire, Xavier Lenoir, expliquant avoir effectué un "système de copié-remplacé classique" sur une affaire précédente. De nouvelles dates devront être programmées pour ce procès qui avait débuté le 3 octobre et devait s'achever vendredi. Le président de la cour a précisé que l'accusé restait en détention provisoire jusqu'au nouveau procès. L'annonce de ce renvoi a été accueillie par des pleurs et de la "colère" du côté des familles des victimes. "On va devoir tout revivre", a-t-on entendu dans la salle avant la levée de l'audience. Me Yassine Bouzrou, qui a été de ceux parmi les avocats des parties civiles ayant soutenu la "suspicion légitime" du président de la cour d'assises, a expliqué avoir voulu empêcher que "l'accusé puisse bénéficier de ces erreurs" de procédure, notamment pour solliciter une remise en liberté. Al Khawad Al Zine Sulaymane, de nationalité soudanaise et âgé de 35 ans, comparaissait devant la cour d'assises du Maine-et-Loire pour les meurtres, un soir de juillet 2022 à Angers, de trois jeunes hommes âgés de 16, 18 et 20 ans avec lesquels il avait eu une altercation plus tôt. Il est également accusé d'avoir blessé trois autres personnes et d'avoir agressé sexuellement deux jeunes filles ce même soir.

09.10.2025 à 12:39

Les vins effervescents à la fête, à des degrés divers

FRANCE24

Tirés par la demande internationale et le succès du prosecco italien, ces vins ont vu leur consommation et leur production quasiment doubler depuis 2002, selon l'Organisation internationale du vin (OIV), contrastant avec le reste d'un secteur frappé par la déconsommation. L'Italie, première productrice avec un tiers des vins effervescents mondiaux, a vu en 2024 ses exportations dopées par ses bulles: +12% en volume sur un an sur cette catégorie. En France, 2e productrice avec 16% du total, devant l'Allemagne (14%), ces bons chiffres n'ont pas échappé aux fabricants de crémants, qui réunissent huit appellations, en Touraine, Alsace, Savoie, Bourgogne... Près de Bordeaux, Dominique Furlan en "fait le plus possible, la moitié" de sa production désormais. Il y a cinq ans, il produisait trois quarts de vin rouge. "Aujourd'hui le crémant c'est vital", décrit ce vigneron et président de coopérative. "C'est encourageant car ce produit plaît. Le consommateur y trouve son plaisir, et le producteur un salaire", souligne-t-il. Pour les crémants, 2024 a été une année record avec plus de 114 millions de bouteilles vendues, soit +6% par rapport à 2023 et +35% par rapport à 2020, selon leur fédération nationale (FNPEC). Fin septembre la filière a présenté ses ambitions: monter en gamme (cuvées spéciales, cépages autochtones...), prendre le créneau bulles entre 9 et 15 euros abandonné par le champagne, notamment en grande distribution. Et s'étendre à l'export (40% aujourd'hui), au Royaume-Uni, où il est présent depuis peu, ou aux Etats-Unis, où la filière juge son niveau de prix à même d'encaisser le surcoût des droits de douane de Donald Trump. "Le roi de la fête" à l'épreuve Les vins effervescents ont "un style, le goût, les bulles, (qui) semblent emporter une adhésion assez large particulièrement chez les jeunes adultes", explique à l'AFP Richard Halstead, expert auprès du spécialiste des données sur l'alcool IWSR. Surtout "les occasions de célébrer ont pris de l'importance. (...) Et ce n'est pas un produit de tous les jours", ce qui fait qu'il est aussi moins affecté par la tendance générale à la modération. En revanche, "récemment, le champagne a connu une contraction, largement, selon nous, en raison des difficultés économiques des consommateurs", relève l'analyste: les volumes ont diminué, même si la valeur des échanges a continué à croître. "Il y a eu l'inflation, l'augmentation des coûts de production, et puis certaines grosses maisons de champagne ont relevé leurs prix, parfois de beaucoup (...) Si vous montez vos prix, la demande peut répondre en déclinant, parce que tout le monde ne peut pas se permettre d'acheter ce produit aussi souvent qu'avant", précise-t-il. Début octobre, le Syndicat général des vignerons de la Champagne (SGV) a exprimé son "inquiétude face au repli" de grands marchés, avec la montée des politiques protectionnistes mais aussi "la concurrence accrue" d'autres effervescents. En 2025, la région espère stabiliser ses expéditions par rapport à 2024 (271,4 millions de bouteilles, en recul après trois ans autour de la barre des 300 millions). Devra-t-elle baisser ses prix? "La Champagne a fait de gros efforts qualitatifs, environnementaux, avec un cahier des charges extrêmement exigeant nécessitant par exemple beaucoup de personnel, on a pris l'inflation de plein fouet, et on a impacté l'évolution de nos charges sur le prix de vente", a répondu à la presse le président du SGV, Maxime Toubart. "L'idée n'est pas de baisser les prix, mais d'expliquer que le champagne reste le meilleur rapport qualité-prix, qu'en termes d'équivalence, on ne trouve pas, c'est le roi la fête", a-t-il ajouté. "Aujourd'hui, le spritz ou le prosecco (qui compose le spritz, NDLR) est-il un concurrent? Oui et non", a-t-il dit. "Oui parce qu'il y a un vrai attrait pour ces boissons. Mais ça ouvre aussi le palais et beaucoup de gens qui commencent par le spritz iront vers des crémants puis le champagne."

09.10.2025 à 12:35

Israël-Gaza : l'accord de paix en cours salué par la communauté internationale

FRANCE24

Un accord de cessez-le-feu entre Israël et le Hama a été annoncé par Donald Trump, confirmé par Tel Aviv et le groupe armé palestinien. Issu de négociations indirectes à Charm el Cheikh, en Égypte, il ouvre la voie à un cessez-le-feu, à une libération des otages et à la résolution potentielle du conflit qui fait rage depuis deux ans dans l'enclave palestinienne. Explications d'Anne Corpet, chroniqueuse internationale France 24
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