Victoire du « libertarianisme », nouveau visage du « fascisme » : pour désigner l’expérience de Javier Milei en Argentine, les qualificatifs, même contradictoires, n’ont pas manqué. Une chose est certaine : les travailleurs argentins encourent une dégradation de leurs conditions de vie, au profit d’une minorité. Mais loin d’être le produit d’une adhésion de masse aux idées libertariennes, la présidence de Javier Milei résulte d’une reconfiguration des rapports de force au sein de la bourgeoisie argentine.
Victoire du « libertarianisme », nouveau visage du « fascisme » : pour désigner l’expérience de Javier Milei en Argentine, les qualificatifs, même contradictoires, n’ont pas manqué. Une chose est certaine : les travailleurs argentins encourent une dégradation de leurs conditions de vie, au profit d’une minorité. Mais loin d’être le produit d’une adhésion de masse aux idées libertariennes, la présidence de Javier Milei résulte d’une reconfiguration des rapports de force au sein de la bourgeoisie argentine.