Les conclusions de l’étude, rendues publiques ce lundi 15 septembre, frustre ceux qui attendent toujours des données précises sur l’impact sanitaire des épandages dans un département façonné par les vignes.
Très attendues, les conclusions de l’expertise d’ampleur menée par Santé publique France et l’Anses confirment que l’usage de ces substances chimiques par les viticulteurs est les principal facteur de contamination des riverains et de leur environnement.
A l’issue de deux décennies de négociations, le texte qui s’applique à partir de ce lundi 15 septembre a été accepté par plus d’une centaine de membres de l’Organisation mondiale du commerce.