Pour la journaliste Hélène Devynck, les images diffusées lors des audiences sont la preuve irréfutable de ce qui a «détruit de l’intérieur» Gisèle Pelicot mais aussi sauvée. Et questionne : est-ce la victime ou le violeur qui y perd sa dignité ?
Le 23 octobre, Laurence Ferrari recevait le Premier ministre israélien interrogé comme un dirigeant national, ce qu’il est, et non comme le pirate du droit international et le responsable de crimes de guerre qu’il est aussi.
Le président du Rassemblement national hurle à la «censure» après l’annonce de la régie pub de la SNCF de ne pas diffuser de promo pour son livre dans les gares. Une victimisation qui ne tient pas debout.