Dans la nuit de jeudi à vendredi, l’armée israélienne a annoncé prendre pour cible des infrastructures du Hezbollah. Terrifiants les civils libanais, ces bombardements ont surtout permis à Tel-Aviv de faire passer une série de messages.

La rupture au sommet des deux ex-acolytes milliardaires a pris un tour aussi furieux que retentissant, jeudi 5 juin, au gré d’une surenchère de rancunes et menaces échangées à distance après que le patron de Tesla s’en est pris à la «grande et belle loi» budgétaire censée réaliser les ambitions et promesses du Président.

Après avoir paradé en binôme infernal pendant plusieurs mois, le président américain et le magnat de la tech s’écharpent désormais sur les réseaux sociaux. Des bisbilles qui ont fait chuter la valeur du titre de Tesla de plus de 14 %.

Trois conteneurs de matériel militaire français destinés à Israël ont été bloqués les 4 et 5 juin par les dockers du port de Fos-sur-Mer. Amnesty International alerte sur le risque de «complicité de génocide».

Sur le traité de libre-échange, Gaza et, surtout, l’Ukraine, le président brésilien, en visite en France, et son homologue affichent des positions divergentes. Mais soulignent la qualité de la relation bilatérale.

Un objectif de 5 % de leur PIB national consacré aux dépenses de défense, au lieu de 2 % actuellement : c’est le sujet majeur des discussions entre ministres de la Défense des pays de l’Alliance ce jeudi 5 juin, en amont du sommet de La Haye.

Le président américain a annoncé ce mercredi 4 juin sa décision de fermer le territoire américain aux ressortissants de douze pays. Au début de son premier mandat, en 2017, il avait pris une mesure semblable, annulée ensuite par Joe Biden.

Dans la nuit du dimanche 1er juin, le Gazaoui de 29 ans avait filmé les tirs de l’armée israélienne à proximité d’un site de distribution humanitaire à Rafah. Mardi, il a été tué au même endroit, où il s’était rendu à nouveau pour nourrir sa famille.

L’essentiel des informations du jour sur la guerre entre le Hamas et Israël.

En visite à Paris avec le président Lula, l’artiste au gouvernement depuis deux ans raconte la «reconstruction» du secteur de la culture, miné par l’extrême droite, et loue la création brésilienne, primée aux Oscars et à Cannes.

Plusieurs événements, dépendants d’un fonds soupçonné d’investir dans les territoires occupés par Israël, sont visés par des appels au boycott émanant aussi bien du public que des artistes. Avec en filigrane une critique du désengagement financier des pouvoirs publics.

Le mouvement rassemblant des citoyens de 35 pays entend susciter l’intérêt médiatique autour de la situation dans l’enclave. Il ne doit pas être confondu avec une initiative presque homonyme, dans laquelle on retrouve impliquée des figures de l’antisémitisme français.