Si l’on reconnaît aujourd’hui l’ampleur de l’extermination qui a débuté en 1975, il est psychiquement essentiel pour les descendants des victimes de connaître les raisons pour lesquelles leurs ancêtres ont été tués, estiment les professeurs Pierre Bayard et Soko Phay, à la veille du 50e anniversaire de la chute de Phnom Penh.