Avant d’être nommé chef de service à Créteil en 2018, le chirurgien cardiaque a sévi au CHRU de Nancy. L’équipe de soins l’avait destitué et exigé qu’il se forme à des gestes chirurgicaux, ce qu’il n’a pas fait. Informée, l’AP-HP le couvre.
Depuis 2018, au groupe hospitalier universitaire Henri Mondor de Créteil, des chirurgiens cardiaques dénoncent un taux de mortalité suspect, un management par la peur et des mensonges de Thierry Folliguet. Les lanceurs d’alerte sont placardisés.
En comparution immédiate, des prévenus souffrant de troubles psychiatriques avérés sont envoyés en prison. L’Assemblée nationale, dans un rapport paru cet été, s’inquiète d’une dérive alarmante, illustrée par une audience où était StreetPress.