flux Ecologie

Depuis les années 2000, négaWatt travaille en faveur d’une transition énergétique réaliste et soutenable pour la France.

▸ les 10 dernières parutions

28.01.2025 à 09:30
Catherine
Lire plus (60 mots)

Mardi 28 et mercredi 29 janvier à partir de 9h30

Deux jours pour acquérir des connaissances, des outils et travailler son discours pour accélérer la transition énergétique !

Animé par Stéphane Signoret, membre de la Compagnie des négaWatt et Benoît Verzat, ambassadeur de l'Association négaWatt..

19.12.2024 à 16:30
Stéphane LB
Lire plus (406 mots)

Une planification énergétique inachevée

Le Gouvernement a lancé début novembre une concertation publique autour des tant attendues Programmation pluriannuelle de l'énergie (PPE) et Stratégie nationale bas carbone (SNBC) ; mais le projet de décret a été transmis au Conseil supérieur de l'énergie sans même attendre la clôture officielle de celle-ci. Dans ce contexte, nous craignons donc que les contributions de la société civile ne soient pas prises en compte.

Ces retours sont pourtant essentiels, pour plusieurs raisons :

  • Une planification qui n'atteint pas ses objectifs — La trajectoire actuelle de la PPE-SNBC prévoit une consommation énergétique finale de 1410 TWh en 2030, soit un écart de 140 TWh par rapport à nos objectifs européens. Cet écart s'explique, comme nous le montrons dans notre contribution, par un renoncement inquiétant aux efforts côté demande.

  • Des enjeux de bouclage non résolus — L'absence de chiffrage précis post 2030 rend difficile toute évaluation de la robustesse du plan à long terme. Cet état de fait est d'autant plus préoccupant que, malgré des niveaux de production énergétique ambitieux, les problèmes de “bouclage” énergétique se multiplient passée cette date.

  • Une absence d'ambition pour faire évoluer structurellement la demande d'énergie — L'Association négaWatt rappelle que des mesures volontaristes de sobriété permettraient de résorber l'écart constaté entre production et consommation tout en assurant une trajectoire cohérente avec nos objectifs.

Une chose est certaine : produire ce que l'on consomme, et non l'inverse, doit devenir la priorité si nous souhaitons que notre trajectoire énergie-climat soit conforme à l'objectif de neutralité climatique et socialement soutenable.

17.12.2024 à 10:17
Stéphane LB
Lire plus (49 mots)
12.12.2024 à 12:23
Stéphane LB
Lire plus (185 mots)
05.12.2024 à 20:00
Catherine
Lire plus (185 mots)

Daniel Mugnier, ambassadeur de l'Association négaWatt, présentera le scénario 2022 et répondra aux questions du public.

03.12.2024 à 16:27
Stéphane LB
Lire plus (398 mots)

Premier métal étudié dans le cadre du projet Minimal : le lithium.

Il se distingue d'autres métaux par son rôle central dans la transition énergétique (batteries Li-ion des véhicules électriques notamment), le rôle limité que pourra avoir le recyclage pour subvenir aux besoins de la transition dans la prochaine décennie, son impact sur la ressource en eau, et les défis d'approvisionnement qu'il présente.

Si les tendances actuelles sont prolongées (augmentation de la demande de transport routier, stabilisation du taux de remplissage des véhicules et course à l'autonomie des véhicules électriques et donc hausse de la taille des batteries), le plafond environnemental défini dans cette étude serait très largement dépassé ; la prise en compte des impacts environnementaux liés à l'extraction minière et la métallurgie s'avère donc un défi majeur.

Principaux enseignements :

  • La sobriété est un levier impératif pour limiter en premier lieu les atteintes aux limites planétaires, mais également les risques réels d'approvisionnement de lithium pour l'Union européenne.
  • Le recyclage est un levier important pour diminuer l'empreinte environnementale de la consommation du lithium, mais ne suffira pas à sortir de l'extraction à court terme : les stocks d'équipements en fin de vie contenant du lithium ne sont pas encore suffisants.
  • Les nouveaux projets miniers doivent être choisis en fonction de leur efficacité environnementale (teneur, type de gisement, vulnérabilité des écosystèmes locaux, tensions locales sur la ressource en eau, présence de polluants potentiels ?…) et non uniquement selon leur emplacement géographique ou leur rentabilité . Nous proposons des pistes d'analyse sur la qualité environnementale des différents gisements ; elles demandent à être complétées par des informations locales (sociales, économiques) et techniques, et ne peuvent se substituer à une évaluation environnementale poussée projet par projet.

Retourner sur la page du projet Minimal

22.11.2024 à 17:28
Stéphane LB
Lire plus (66 mots)
10 / 10

  Bon Pote
Actu-Environnement
Amis de la Terre
Aspas
Biodiversité-sous-nos-pieds

 Bloom
Canopée
Décroissance (la)
Deep Green Resistance
Déroute des routes
Faîte et Racines
 Fracas
France Nature Environnement AR-A
Greenpeace Fr
JNE

 La Relève et la Peste
La Terre
Le Lierre
Le Sauvage
Low-Tech Mag.
Motus & Langue pendue
Mountain Wilderness
Negawatt
Observatoire de l'Anthropocène

 Reporterre
Présages
Reclaim Finance
Réseau Action Climat
Résilience Montagne
SOS Forêt France
Stop Croisières

  Terrestres

  350.org
Vert.eco
Vous n'êtes pas seuls

 Bérénice Gagne