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06.12.2025 à 00:30

Que dit-on de l'inceste en fac de psycho ?

Malo

Louison est prof de français et en reprise d'études en troisième année de licence de psychologie clinique. Elle anime aussi le compte Instagram Aventreouvert, dans lequel elle a déjà dénoncé les errements des enseignements qu'elle suit à l'Université Aix-Marseille, en ce qu'ils participent à nier l'inceste comme fait social et réel, tout en formant les psychologues de demain. Témoignage. « Le traitement qui est fait des violences sexuelles commises sur les enfants et plus particulièrement (…)

- CQFD n°247 (décembre 2025) / ,
Texte intégral (1188 mots)

Louison est prof de français et en reprise d'études en troisième année de licence de psychologie clinique. Elle anime aussi le compte Instagram Aventreouvert, dans lequel elle a déjà dénoncé les errements des enseignements qu'elle suit à l'Université Aix-Marseille, en ce qu'ils participent à nier l'inceste comme fait social et réel, tout en formant les psychologues de demain. Témoignage.

« Le traitement qui est fait des violences sexuelles commises sur les enfants et plus particulièrement de l'inceste est catastrophique dans ma fac, mais aussi dans de nombreuses universités françaises. À Aix-Marseille Université (AMU), la psychanalyse est totalement hégémonique et se résume principalement à Freud et Lacan. Les étudiants qui ont choisi la psychologie clinique comme spécialité seront plus tard au contact des victimes d'inceste ; or il n'y a pas de cours sur le trauma simple et encore moins sur le trauma complexe1. C'est totalement absent des enseignements.

Le complexe d'Œdipe et la théorie du fantasme sont au centre de l'apprentissage, passant sous silence les violences réelles commises sur les enfants.

Pour prendre correctement en charge les victimes de violences, les psychologues doivent donc faire des formations complémentaires payantes après l'obtention de leur diplôme, et c'est bien évidemment au bon vouloir de chacun. Pire, le complexe d'Œdipe et la théorie du fantasme sont au centre de l'apprentissage, passant sous silence les violences réelles commises sur les enfants. Jamais les chiffres sur l'inceste ou les conséquences de ces violences ne sont évoqués. Finalement, l'université est un prolongement de ce qui se passe au sein de la société : négation de l'inceste et mauvais traitement des victimes. »

Le complexe d'Œdipe comme négation de l'inceste

« Pour faire court, Freud commence par faire l'hypothèse que les “hystériques” auraient été victimes de violences sexuelles dans l'enfance (c'est la “théorie de la séduction”). Les symptômes à l'âge adulte seraient donc causés par un traumatisme “refoulé”, lié au passé. Mais il renonce finalement à cette théorie pour mettre au premier plan celle du fantasme quand il s'aperçoit qu'il ne parvient pas à soigner les malades et que les cas d'inceste, notamment d'inceste paternel, sont trop fréquents. En 1897, dans une lettre à un pair2, il écrit : “Une telle généralisation des actes pervers commis envers des enfants semblait peu croyable.

« Une telle généralisation des actes pervers commis envers des enfants semblait peu croyable »

Cette réalité était difficilement acceptable, y compris pour Freud qui a lui-même grandi dans une famille incestueuse avec un père agresseur… Il élabore alors la théorie du complexe d'Œdipe, selon laquelle les symptômes seraient causés non par une violence réelle, mais par un fantasme incestueux chez l'enfant, plus précisément par un refoulement issu d'un conflit entre désir sexuel incestueux et interdiction de ce désir. Freud écrit, dans Ma vie et la psychanalyse (1925) : “Je dus cependant reconnaître que ces scènes de séduction n'avaient jamais eu lieu, qu'elles n'étaient que des fantasmes imaginés par mes patients […] les symptômes névrotiques ne se reliaient pas directement à des événements réels, mais à des fantasmes de désir”… L'inceste serait donc du côté de l'enfant et non de l'adulte, et du côté du fantasme et non de la réalité. Il y a un double renversement. Et c'est le point de départ de nos apprentissages à l'université… »

Apprendre à douter de la parole de l'enfant

« L'année dernière, une prof nous a carrément dit qu'il n'y avait aucune différence entre les personnes traumatisées par l'inceste réellement subi et celles (prétendument) traumatisées par leurs propres fantasmes… Et plusieurs profs ont déjà manifesté ouvertement leur réticence vis-à-vis du signalement lorsque l'on est face à un enfant qui révèle des violences, sous prétexte qu'il pourrait ne s'agir que de “fantasmes”.

Les conséquences de la théorie du complexe d'Œdipe sont donc bien concrètes, et dramatiques pour les victimes. Et la doctrine en est complètement imbibée, au point que de nombreux professionnels continuent de s'en réclamer, et qu'elle est encore aujourd'hui enseignée à de futurs praticiens. Cela conduit à une absence de formation sur le psychotrauma et à une négation des violences réelles subies par les enfants, en particulier au sein de la famille, en plus d'une impunité offerte aux agresseurs.

L'idée n'est pas de supprimer la psychanalyse des enseignements, mais de trouver un meilleur équilibre, de favoriser l'esprit critique et de ne pas rester bloqués sur des théories permettant de nier l'inceste commis sur les enfants. La psychologie ne se résume pas à la psychanalyse et la psychanalyse ne se résume pas non plus à Freud ou Lacan, et encore moins au complexe d'Œdipe. Il faut une mise à jour des enseignements pour permettre aux futurs psychologues de prendre correctement en charge les victimes d'inceste, qui sont innombrables et dont le vécu est déjà suffisamment nié par l'ensemble de la société. »

Propos recueillis par Malo

1 Le « trauma simple » est causé par un événement unique (agression, accident…) quand le « trauma complexe » est dû à la répétition de violences dans le temps, entraînant des conséquences psychiques multiples et plus vastes.

2 Voir celle du 21 septembre 1897, dans Enquête aux archives Freud, Jeffrey Masson (L'instant présent, 2012).

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06.12.2025 à 00:30

Son immeuble s'effondre, l'État l'expulse

Paul Berger

Reda M., reconnu victime des effondrements de la rue d'Aubagne, a été expulsé de France après un mois et demi en centre de rétention à Marseille. L'occasion de faire le point sur l'application d'un texte législatif censé protéger les victimes de marchands de sommeil, quel que soit leur statut administratif. Un silence assourdissant enveloppe l'assemblée devant la « dent creuse » de la rue d'Aubagne, à Marseille. Le 5 novembre au matin, une centaine de personnes s'est rassemblée pour (…)

- CQFD n°247 (décembre 2025) / ,
Texte intégral (1651 mots)

Reda M., reconnu victime des effondrements de la rue d'Aubagne, a été expulsé de France après un mois et demi en centre de rétention à Marseille. L'occasion de faire le point sur l'application d'un texte législatif censé protéger les victimes de marchands de sommeil, quel que soit leur statut administratif.

Un silence assourdissant enveloppe l'assemblée devant la « dent creuse » de la rue d'Aubagne, à Marseille. Le 5 novembre au matin, une centaine de personnes s'est rassemblée pour commémorer le macabre anniversaire des effondrements où huit personnes ont trouvé la mort en 2018. Quinze longues minutes d'un mutisme que seul le vrombissement des scooters, le fracas de travaux au loin et le cri strident des mouettes viennent briser. Puis c'est au tour des prises de parole des familles, qui rappellent à tous l'horreur et l'injustice qui entourent ce drame.

Le Collectif du 5 novembre multiplie les démarches et interpelle Emmanuel Macron pour demander une grâce présidentielle

Mais cette année, dans la foule, une affiche passe de main en main. Le papier porte l'inscription « REDA DOIT POUVOIR RENTRER EN FRANCE », en majuscules, lettres blanches sur fond noir. « On va faire une photo, pour Reda, pour demander son retour », annonce au micro Kévin Vacher, du Collectif du 5 novembre, créé juste après les effondrements. Reda, c'est le grand absent de cette commémoration. Victime de la rue d'Aubagne, il a été expulsé de France entre le 25 et le 26 octobre, après un mois et demi passé au centre de rétention administrative du Canet, dans le 14e arrondissement de Marseille. Arrêté le 5 septembre dans une station de métro pour franchissement illégal du portique, il était sous le coup d'une interdiction du territoire français de trois ans, prononcée en mars 2023.

Une victime de plus qu'on expulse

Il a le profil type de ceux qui passent sous les radars. Immigré tunisien âgé d'une quarantaine d'années lorsqu'il arrive sur le territoire français pour travailler, comme tant d'autres anonymes. Si, ce 5 novembre, toute l'assemblée montre sa solidarité, c'est que son histoire s'inscrit dans un récit plus grand que lui.

Sept ans plus tôt, jour pour jour, il quitte à l'aube l'appartement de Rachid, qui l'héberge depuis plusieurs semaines. Taher et Chérif, deux amis restés pour la nuit, dorment encore. Il ne les reverra plus. Tous deux périssent dans l'effondrement, devenu le symbole d'une ville minée par l'habitat délabré. Une enquête de police s'ouvre, sans s'attarder sur son cas. Après tout, son nom ne figure sur aucun bail. Viendra ensuite un procès en 2024, durant lequel il se porte partie civile et sera reconnu victime du propriétaire de l'appartement, Xavier Cachard, avocat du syndicat de copropriété et vice-président du conseil régional de Provence-Alpes-Côte d'Azur au moment des faits. Ce dernier, refusant la sentence – pourtant dérisoire – de quatre ans de prison dont deux ferme sous bracelet électronique, sera rejugé en appel en novembre 2026.

L'un des arguments avancés par les soutiens de Reda : une loi permettant désormais d'accorder un titre de séjour aux victimes de marchands de sommeil

De ce rendez-vous avec une justice toute relative, Reda en sera privé. Bloqué en Tunisie, sa santé est extrêmement dégradée par tous ces drames encaissés. Kévin Vacher n'en fait pas le secret : « On l'a eu au téléphone hier, son état nous inquiète beaucoup. » Atteint d'une hépatite B, Reda ne peut se soigner en Tunisie. Le Collectif du 5 novembre multiplie les démarches et interpelle Emmanuel Macron pour demander une grâce présidentielle. « Pour l'instant, l'Élysée a simplement accusé réception », précise Kévin Vacher. L'un des arguments avancés par les soutiens de Reda : une loi permettant désormais d'accorder un titre de séjour aux victimes de marchands de sommeil.

Cachez cette disposition que je ne saurais voir

Introduite par la loi dite « Darmanin », du 26 janvier 2024, cette disposition ouvre une voie d'obtention d'un titre de séjour temporaire aux victimes de l'habitat indigne, à condition qu'elles portent plainte contre les personnes qui les contraignent à vivre dans ces conditions.

Morgane Paret est juriste pour le réseau Espace qui accompagne les professionnels de l'accueil et du conseil aux personnes étrangères. Pour elle, c'est indéniable : la disposition est utile. « À Marseille, où de nombreux logements sont insalubres, c'est un outil qui nous aide. » Mais la juriste nuance aussitôt et pointe les obstacles que l'administration multiplie. « La préfecture n'indique pas les documents nécessaires pour faire cette demande de titre. Sur son site, le formulaire adapté n'est pas disponible. »

« Actuellement à Marseille on a huit mois à un an de retard sur les dossiers de renouvellement des titres »

Une autre avocate spécialisée, également contactée, dénonce des obstructions similaires de la préfecture des Bouches-du-Rhône. Pour l'un de ses clients, un homme visé par une obligation de quitter le territoire, elle a dû saisir le tribunal administratif pour obtenir un récépissé. Une procédure devenue presque banale selon Morgane Paret. Bien souvent, les demandes se heurtent également à une obstruction passive : la longueur des délais. « Actuellement à Marseille, on a huit mois à un an de retard sur les dossiers de renouvellement des titres. Normalement quatre mois sans réponse de l'administration constituent un refus implicite », rappelle la juriste.

Peur des bleus

Si les professionnels interrogés s'entendent sur le fait que la disposition ouvre une nouvelle voie de régularisation, tous demeurent extrêmement critiques. Morgane Paret rappelle que les personnes étrangères qui bénéficient d'un accompagnement juridique restent une minorité. « Elles portent très peu plainte en réalité », indique-t-elle.

« il n'avait aucune chance »

Car quand on vit en situation irrégulière, un homme en bleu représente plus une menace qu'un allié. Les exemples ne manquent pas. « Je me souviens d'un cas, en octobre 2024. Un monsieur se fait cambrioler dans l'appartement qu'il sous-loue. Il demande à sa voisine d'appeler la police pour qu'il puisse porter plainte et, lorsqu'ils arrivent, les agents constatent qu'il est sans-papiers et le placent en garde à vue avant de l'expulser », se remémore Bruno, militant de longue date au sein de la Cimade.

À l'évocation du dossier de Reda, Bruno est catégorique : « il n'avait aucune chance », tranche-t-il, témoin du tournant répressif inédit pris par l'État ces dernière années. Car Reda n'était pas locataire : il ne pouvait pas bénéficier de la loi sur les marchands de sommeil.

Urgence : Ordre public

Si le militant de la Cimade se montre si catégorique, c'est qu'aujourd'hui une notion revient systématiquement dans le traitement des personnes étrangères : l'ordre public. Depuis le début de l'année 2025 et la circulaire dite « Retailleau », les préfectures ont pour consigne de durcir drastiquement le ton. Un court texte, d'à peine trois pages, qui insiste sur le caractère exceptionnel de la délivrance d'un titre de séjour. « Jusqu'à la circulaire Retailleau, on se référait à une circulaire Valls de 2012, qui était extrêmement détaillée », témoigne la juriste Morgane Paret.

Le document souligne également la notion de « menace à l'ordre public » et incite l'administration à se renseigner systématiquement lors du traitement des demandes de titre de séjour, en élargissant considérablement le champ de cette fameuse « menace ». Aujourd'hui, le fichier de traitement des antécédents judiciaires (TAJ) est presque systématiquement consulté lors d'une demande de titre. La simple présence dans ce fichier, que ce soit pour une condamnation ou pour une simple audition en tant que témoin, suffit à refuser des demandes de papiers. « On a eu un cas à Toulon : un homme en France depuis des années s'est vu refuser son renouvellement de titre pour une conduite sans permis en 2017 », s'insurge une juriste contactée.

Autant dire qu'avec une condamnation en 2023 et aucune plainte contre son marchand de sommeil, Reda n'avait que peu de chances face à la machine répressive qu'est l'administration française. Comme tant d'autres étrangers, il est passé par le centre de rétention administrative du Canet, un établissement où les conditions de logement ont été qualifiées « d'indignes » par un rapport du Contrôleur général des lieux de privation de liberté publié l'an dernier. Dès lors, l'État français serait-il dans l'obligation de délivrer un titre de séjour aux étrangers retenus dans les CRA qui porteraient plainte pour des conditions d'hébergement incompatibles avec la dignité humaine ?

Paul Berger
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06.12.2025 à 00:30

Au boulot les jeunes

Loïc

Loïc est prof d'histoire et de français, contractuel, dans un lycée pro des quartiers Nord de Marseille. Chaque mois, il raconte ses tribulations au sein d'une institution toute pétée. Entre sa classe et la salle des profs, face à sa hiérarchie ou devant ses élèves, il se demande : où est-ce qu'on s'est planté ? « Ennuyeux, pénible, fatigant, dur physiquement et mentalement ». Les élèves de CAP rentrent tout juste de stage. En début de cours, je leur demande d'écrire rapidement comment (…)

- CQFD n°247 (décembre 2025) / ,
Texte intégral (768 mots)

Loïc est prof d'histoire et de français, contractuel, dans un lycée pro des quartiers Nord de Marseille. Chaque mois, il raconte ses tribulations au sein d'une institution toute pétée. Entre sa classe et la salle des profs, face à sa hiérarchie ou devant ses élèves, il se demande : où est-ce qu'on s'est planté ?

« Ennuyeux, pénible, fatigant, dur physiquement et mentalement ». Les élèves de CAP rentrent tout juste de stage. En début de cours, je leur demande d'écrire rapidement comment s'est passée l'expérience. Comme à chaque fois, les mêmes réponses, à quelques exceptions près. Certains ont adoré : « Franchement meilleur stage ! J'étais tout le temps dehors et en déplacement chez les clients ! » Sur leur feuille, les autres pointent la dureté du travail : « On portait des panneaux tout le temps, j'avais hyper mal au dos et si je me plaignais, je me faisais défoncer » ; ou plus souvent encore l'ennui : « Je n'ai fait qu'observer pendant un mois. Je n'avais pas le droit de toucher les outils parce que le maître de stage n'était jamais là. Du coup, j'allais me cacher dans les toilettes ». Pour accueillir les stagiaires dans l'entreprise, aucune qualification particulière de formateur n'est attendue, ni même de connaissance fine du boulot. La fonction est bien souvent occupée par le patron de la boîte, qui n'a parfois de connaissance du métier que le volet administratif. « Le chef, il passe en coup de vent. Il juge mon travail mais il n'y connaît rien, il est toujours dans les bureaux », raconte un autre. Et les 35 heures ne sont pas toujours respectées : « Moi je bossais de 10 à 18 heures sans pause, on mangeait après ». Et quelques fois, avec des horaires de nuit à la clef : « Pendant une semaine, sur un chantier où il fallait aller vite, on finissait à 23 heures », m'explique un élève en maçonnerie. Des patrons qui exploitent des enfants donc, et n'hésitent pas à en faire des petites mains interchangeables. « Avec lui c'est simple, on est quatre stagiaires. On se réunit chaque matin et il décide qui vient et qui ne vient pas en fonction de ses besoins ! » raconte un autre jour un élève en plomberie.

Qu'en pense l'institution ? Silence radio en haut lieu. Chaque réforme du lycée professionnel encourage davantage le rapprochement entre l'école et l'entreprise avec, depuis 2023, une rémunération de quelques centaines d'euros par stage payé par l'État, pain béni pour le patronat1. Et les profs ? Si nombre d'entre eux dressent des « listes noires » d'entreprises véreuses vers lesquelles ils refusent d'envoyer leurs élèves, d'autres encouragent l'exploitation avec un discours pro-patronal. Un jour, l'un d'entre eux criait sur un élève : « Un patron il fait ce qu'il veut ! S'il ne veut pas être à l'atelier, il n'y est pas. Il vous offre du travail ! » Satisfait, il ironisait : « C'est vraiment l'air du “pédagogisme”, il faudrait écouter le besoin des élèves maintenant ». Précisément, cela empêcherait peut-être de détruire le corps et le moral des ados, au profit d'une formation attentive et émancipatrice. À son retour, un élève résume : « En fait monsieur, l'école c'est dur, mais le stage c'est pire ! Je suis content de vous revoir ! »

Loïc

1 Lire « On limite la possibilité pour ces jeunes de faire des études sup' », CQFD n°227, février 2024.

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