« Si vis pacem, para bellum » – si tu veux la paix, prépare la guerre. Cette maxime résonne dans les quartiers généraux des ministères de la Défense, des états-majors et de l’industrie de l’armement. Dix experts en sécurité et en relations internationales s’élèvent contre l’idée que la paix s'impose par les armes.
Il y a 70 ans, en 1955, la ville indonésienne de Bandung réunissait les chefs de gouvernement de vingt-neuf pays d’Afrique et d’Asie. Au centre des discussions : la décolonisation, le processus de paix mondiale et le développement. De cette vision de solidarité et de coopération est née une idée : l’esprit de Bandung.
Élu en 2013, le défunt cardinal jésuite argentin Jorge Mario Bergoglio avait choisi son nom en hommage à saint François d’Assise ayant fait vœux de pauvreté. À l’opposé de son prédécesseur, son pontificat fut guidé par la simplicité du protocole et les questions sociales.
L'accès à la mobilité est déterminé par le capitalisme en fonction du montant que vous pouvez payer. Ceux qui n’y arrivent pas se retrouvent dans la pauvreté en matière de mobilité. Les transports publics gratuits offrent une alternative.
Depuis plusieurs décennies, le consensus atlantiste pousse la Défense belge à s’engager dans une course effrénée aux nouveaux outils militaires. Au détriment de la diplomatie, du respect du droit international et du contrôle des armements.
Peter Mertens, secrétaire général du PTB, a participé à la 6e conférence internationale « pour l’équilibre du monde » à Cuba. Nous publions ci-dessous le texte intégral de son discours.
Les grandes lignes de notre fiscalité après une plongée dans deux siècles d’histoire fiscale belge ? La protection du capital et la hausse continue de la pression sur le travail. Rien ne change avec la réforme Arizona.
Les années 1970 ont constitué un tournant durant lequel l’idée d’une « Europe sociale » était défendue, en réponse à la crise du capitalisme. Ce terme a ensuite été récupéré et dévoyé, au profit du dogme néolibéral.
Grâce à l’UE, l’Europe connaît une période exempte de guerre depuis 70 ans. C’est en tout cas ce qu’affirment les partisans de l’intégration européenne. Or, ceux-ci occultent le fait que l’institution reste encore aujourd’hui un projet (néo)colonial.