Chaque mot prononcé par la Banque de Suède pour motiver l’attribution de son prix dit « Nobel d’économie » à trois chercheurs, dont le Français Gabriel Aghion, est un condensé de l’impasse de la science économique.
Les commentaires trop souvent élogieux, surtout après le précaire cessez-le-feu à Gaza, donnent du Président américain une image trompeuse. Il se rattache en vérité à une sinistre tradition politique.
L’eurodéputée écologiste raconte les coulisses du détricotage en cours du Pacte vert orchestré par la Commission européenne et appelle à une prise de conscience en France.
Sous pression des lobbys industriels et de la droite européenne, le Pacte vert vacille. Vendu comme un pilier de la transition écologique à l’échelle de l’Europe, le texte est aujourd’hui vidé de sa substance par une directive.