AbonnésCertains articles en ACCÈS LIBRE Comment faire évoluer la société vers plus de justice, plus de démocratie, dans le respect des équilibres écologiques ?
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Découvrez une nouvelle inédite de Corinne Morel Darleux. Installée au pied du Vercors depuis plus de quinze ans, Corinne Morel Darleux est essayiste et romancière. Engagée dans de nombreux réseaux écologistes, libertaires et paysans, elle se consacre au militantisme de terrain et à l’écriture. Depuis 2019 et le très remarqué Plutôt couler en beauté que flotter sans grâce (Libertalia), elle développe une œuvre singulière, à la fois poétique et affûtée, qui questionne notre rapport au monde et en appelle à la dignité.
Face au candidat de l’establishment démocrate, Zohran Mamdani s’est imposé le 24 juin dernier à la primaire démocrate dans la course à la mairie de New York. Un renversement spectaculaire qui redonne espoir à la gauche américaine et capte l’attention au-delà des États-Unis. Retour sur une mobilisation populaire hors norme, portée par un candidat dont les positions radicales tranchent avec le centrisme néolibéral du parti démocrate.
Censure, milliardaires, extrême droite... Dans sa nouvelle chronique pour Socialter, la journaliste Salomé Saqué (Blast) revient sur les menaces qui pèsent sur la liberté de la presse et leurs conséquences sur notre démocratie.
Conséquence de la course effrénée à l’intelligence artificielle et à la numérisation de nos vies, les centres de données (ou data centers) se multiplient partout, soutenus unanimement par les gouvernements. Démesurés, voraces en foncier, en énergie et en eau, sources de peu d’emplois, ils offrent une prise nouvelle, un point de convergence entre critique du numérique et luttes environnementales.
Selon une phrase de Fredric Jameson devenue célèbre, il serait plus facile d’imaginer la fin du monde que la fin du capitalisme. Or, à rebours de ce constat, de plus en plus d’auteurs et d’autrices de science-fiction tentent aujourd’hui de raconter des histoires non plus de fin du monde, mais de fin de notre monde capitaliste.