ENTRETIEN EXCLUSIF - L’ancien président socialiste insiste sur la « lourde responsabilité » qui pèse sur le premier ministre et l’invite à accéder aux exigences du PS, notamment en matière fiscale, sans faire de la taxe Zucman un « fétiche ».
Sébastien Lecornu cherche la clémence des socialistes. La dégradation de Fitch doit l’inviter à ne pas reculer sur une réduction forte du déficit public.