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03.10.2025 à 10:45

Plan Trump pour Gaza : le Hamas dit avoir besoin de davantage de temps

FRANCE 24

Alors que Donald Trump lui a fixé un ultimatum de "trois ou quatre jours" pour accepter ce plan en vingt points pour mettre fin à la guerre à Gaza, le Hamas a indiqué vendredi avoir besoin de davantage de temps pour l'examiner.

03.10.2025 à 10:43

Marco Rubio à Jérusalem-Est : une visite sensible près du quartier palestinien Silwan

Cécile GALLUCCIO

Marco Rubio, le secrétaire d'État américain, a participé à l’inauguration de la Route des pèlerins, à à Jérusalem-est. Un site sensible qui jouxte le quartier palestinien de Silwan. Decryptage avec Cécile Galluccio.

03.10.2025 à 10:33

Moins de viande, c'est mieux: des scientifiques de référence persistent et signent

FRANCE24

"La consommation de viande rouge est associée à un risque plus élevé de mortalité dans les pays où elle est élevée depuis plusieurs décennies", met en avant cette vaste synthèse, publiée vendredi dans la revue Lancet par une petite centaine d'experts en nutrition, environnement ou santé publique. Leur travail dépasse, de loin, la seule question de la viande. Il vise à donner des pistes pour que l'ensemble de la population mondiale bénéficie d'une alimentation saine sans nuire pour autant à l'environnement. Ce vaste programme avait déjà donné lieu à un rapport en 2019. L'attention publique et médiatique s'était alors essentiellement portée sur un régime proposé par les experts et présenté comme le meilleur pour la santé. Qualifié de "régime de santé planétaire", celui-ci donnait une place minimale à la viande rouge: 14 grammes par jour, soit la moitié de la moyenne mondiale et bien moins que la consommation dans les pays développés. Les experts appelaient plutôt à privilégier la consommation de céréales complètes ou de noix et oléagineux. Même si les auteurs avaient précisé que ces chiffres ne constituaient qu'un cadre général, cette publication avait suscité des réactions très clivées au sein du grand public et dans le monde économique. A travers le monde, de nombreuses fédérations du secteur agroalimentaire avaient notamment rejeté des préconisations présentées comme caricaturales, dangereuses ou inadaptées aux habitudes locales en matière d'alimentation. La communauté scientifique néanmoins avait plutôt bien accueilli ces recommandations sur le plan sanitaire malgré certaines critiques sur une prise en compte insuffisante de certaines réalités comme les inégalités sociales dans l'accès à l'alimentation. "Les opinions étaient, dans l'ensemble, plus positives que négatives", concluait en 2023 un bilan réalisé par d'autres chercheurs et publié dans le Lancet Global Health, à l'encontre du discours de certains industriels qui ont présenté les conclusions de la commission comme marginales ou polémiques. Une ONG, Changing Markets, a publié en septembre un rapport accusant plusieurs acteurs de l'agroalimentaire d'avoir orchestré une campagne de désinformation en ligne contre les conclusions de la commission. Pas de "révolution" C'est dans ce contexte que les chercheurs publient ce vendredi des recommandations actualisées. Ils ont notamment rajouté un vaste volet lié à la "justice sociale", avec des considérations parfois très larges comme un encouragement à veiller à des conditions dignes pour les travailleurs de l'agroalimentaire. Mais, sur les préconisations alimentaires, ils persistent et signent: le meilleur régime pour la santé "est avant tout basé sur des sources végétales, avec une part modérée d'aliments d'origine animale et le moins possible de sucres ajoutés, de graisses saturées et de sel". La consommation moyenne de viande rouge devrait se limiter à 15 grammes quotidiens, jugent-ils désormais. Les légumes, fruits et céréales complètes devraient être consommés à hauteur respective de 200, 300 et 210 grammes par jour. Les produits laitiers devraient compter pour 250 grammes, les poissons ou fruits de mer pour 30 grammes, de même que les viandes blanches comme la volaille. Tous ces chiffres sont très proches des précédents, surtout si l'on tient compte des fourchettes plus larges promues par les auteurs. Pour la produits laitiers, par exemple, ils estiment que la consommation idéale peut aller d'une abstinence totale à 500 grammes par jour. "Ce n'est pas si surprenant que ça n'ait pas changé", juge auprès de l'AFP François Mariotti, professeur de nutrition à AgroParisTech. "Il n'y pas eu de révolution entre 2019 et aujourd'hui dans les relations que l'on connaît entre la consommation de certains aliments et la santé." Les auteurs admettent toutefois plus ouvertement que leurs recommandations, si elles sont bonnes pour la santé à long terme, peuvent causer des carences à court terme chez certaines personnes, en particulier si elles ne retiennent que le bas des fourchettes proposées.

03.10.2025 à 10:33

La comédienne Ariane Ascaride porte plainte après une salve de lettres anonymes insultantes

FRANCE24

La plainte a été déposée auprès du parquet de Paris, a déclaré Me Marie Dosé à l'AFP, confirmant une information de France Info. Mercredi, Mme Ascaride a raconté sur France Inter avoir reçu de nombreuses lettres anonymes depuis qu'elle joue un spectacle inspiré par sa vie, "Touchée par les fées". Dans ce spectacle, elle révèle "pour la première fois, avoir été victime dans son enfance d'agressions sexuelles de la part de l'un de ses frères", selon la radio publique. "J'ai reçu beaucoup de lettres anonymes (...) disant des choses absolument épouvantables, tout simplement parce que je fais ce spectacle-là", a déclaré la comédienne à l'antenne. "Je tiens à dire que je continuerai à jouer ce spectacle envers et contre tout". Ces courriers l'accusent par exemple d'être une affabulatrice ou comportent des messages à connotation sexuelle ou sexiste. Ariane Ascaride, 70 ans, est une figure du cinéma notamment dans les films de son époux Robert Guédiguian ("Marius et Jeannette") et du théâtre, où elle a incarné Gisèle Halimi ou récemment Gisèle Pélicot dans un spectacle inspiré du procès des viols de Mazan. Sollicité par l'AFP, la comédienne n'a pas donné suite dans l'immédiat.

03.10.2025 à 10:32

Mexique : Claudia Sheinbaum, un an au pouvoir et une popularité record

Quentin DUVAL

Un an après son élection haut la main, la présidente du Mexique, Claudia Sheinbaum, jouit toujours d'une popularité record. Environ 80% des Mexicains approuvent sa politique, selon les sondages.

03.10.2025 à 10:21

Féminicide en Moselle: le suspect, octogénaire, mis en examen et écroué

FRANCE24

L'octogénaire est poursuivi pour "meurtre sur conjoint", a précisé David Touvet. Le mis en cause a été présenté à un juge d'instruction et à un juge des libertés et de la détention jeudi dans la soirée, après une garde à vue émaillée de deux hospitalisations. La première a eu lieu au cours de la première nuit de garde à vue, de mardi à mercredi, et la seconde jeudi, lorsqu'il a été "hospitalisé sous surveillance médicale renforcée" avant que son état ne soit jugé au final "compatible avec le déferrement". Les faits se sont produits mardi en début d'après-midi, au domicile du couple dans cette commune de 5.000 habitants à la frontière allemande. Le mis en cause, retraité, a tiré "à plusieurs reprises sur sa femme à l'aide d'un fusil de chasse à canons sciés", avait précisé à l'AFP le procureur de Sarreguemines, Olivier Glady, qui s'est ensuite dessaisi de l'enquête au profit du parquet de Metz, s'agissant d'un crime de sang. L'homme avait lui-même appelé le 17 et a été interpellé dans la foulée, avait précisé à l'AFP une source proche de l'enquête. Il avait déclaré avoir tiré sur son épouse, selon une source policière. En arrivant, les policiers ont découvert, devant la porte d'entrée de la maison, la victime, dont le corps présentait au moins deux plaies, au niveau de la tête et du buste. Elle est décédée sur place des suites de ses blessures. Assis près du corps, le suspect se tenait mains levées, tout près d'un fusil de calibre 12 mm, selon cette même source. Durant sa garde à vue, l'octogénaire a reconnu avoir tiré à quatre reprise sur sa femme, après une dispute. Au domicile, des cartouches et plusieurs armes blanches ont été saisies par les enquêteurs. Le mis en cause ne présentait pas d'antécédents judiciaires et il n'y avait pas de plainte antérieure pour violences conjugales. Selon les derniers chiffres officiels, 96 féminicides conjugaux ont été recensés par les forces de sécurité en France en 2023, sur 119 morts violentes au sein du couple.

03.10.2025 à 10:19

Réunification allemande : "Grandir ensemble ?"

Antoine FENAUX

A la une de la presse ce vendredi 3 octobre 2025 : un pays sous le choc, une difficile unité et des frais surprenants

03.10.2025 à 10:10

En direct, budget français : Sébastien Lecornu renonce au 49.3 pour gouverner

Jean-Luc MOUNIER

Sébastien Lecornu parviendra-t-il à éviter la censure ? Après avoir rencontré Les Républicains, le Premier ministre reçoit le Parti socialiste et le Rassemblement national dans la matinée pour un rendez-vous de la dernière chance, alors que la mobilisation syndicale s'est essoufflée dans la rue hier. Suivez notre direct.

03.10.2025 à 10:05

Fusées contre biodiversité: en Guyane, le centre spatial poursuivi pour "atteintes environnementales"

FRANCE24

L'affaire poursuit le Cnes depuis 2022. Il est reproché à l'agence spatiale française des "atteintes illicites (...) à la conservation d'un habitat naturel et d'espèces protégées", lors de la réhabilitation non autorisée du pas de tir "Diamant". Entre 1968 et 1976, les premières fusées françaises partaient de ce site. Mis en sommeil, il a été reconverti à partir de 2019 pour accueillir Callisto, une fusée expérimentale réutilisable, et cinq nouvelles plateformes pour des petites fusées privées, au cœur de la tentaculaire base spatiale guyanaise. Au moins quatre espèces protégées et leur habitat ont été détruits lors des travaux de terrassement débutés en mars 2022. Parmi celles-ci, une grenouille rare, le leptodactyle ocellé, protégée depuis 2020 par un arrêté ministériel. Le parquet soupçonne le Centre national d'études spatiales d'avoir eu connaissance de sa présence avant les travaux sans modifier ses plans. Quant aux autorisations de chantier, l'agence ne les avait pas encore obtenues, selon les éléments obtenus par l'AFP. Des impératifs économiques auraient justifié le choix de passer outre. "Les activités de terrassement démarrent. Tout arrêt industriel aurait un impact financier. Sauf demande explicite, nous maintenons ces travaux", écrit une responsable du projet Callisto dans un mail du 22 mars 2022. Plusieurs fois, la Direction générale des territoires et de la mer (DGTM), un service sous l'autorité du préfet, avertit pourtant le Cnes que les travaux "ne peuvent démarrer en l'état". L'agence spatiale passe outre: ce n'est qu'en septembre 2022 que la préfecture fait stopper le chantier avec un projet d'arrêté de mise en demeure de régularisation, après plusieurs contrôles de l'Office français de la biodiversité (OFB) et de la DGTM. Lors d'un de ces contrôles, le 4 août, la DGTM découvre un autre chantier démarré sans autorisation: l'aménagement d'un parc photovoltaïque, malgré la présence d'espèces protégées signalée dès novembre 2021. Selon l'OFB, 2,11 hectares d'habitats abritant huit espèces protégées ont été détruits. - "Sanctuaire environnemental" - Avec ses 650 km2 - six fois la surface de Paris -, le centre spatial guyanais, à l'accès strictement encadré, se présente pourtant comme un "sanctuaire environnemental". Situé sur une savane littorale constituée d'herbes hautes et de petits arbustes, écosystème qui concentre 16% de la biodiversité de Guyane pour 0,3% du territoire, le site abrite plusieurs espèces endémiques et même une concentration inédite de jaguars. Ce n'est pas la première fois que le Cnes est épinglé. En 2019, pour le projet Callisto, il avait lancé des travaux de défrichage sans déclaration préalable, bouleversant une zone où un bureau d'études devait recenser la faune et la flore. Résultat: des inventaires faussés car le milieu naturel avait déjà été altéré. La crise du spatial européen à l'époque, découlant de l'invasion russe de l'Ukraine, semble avoir pesé sur cette précipitation. Notamment pour la réhabilitation du pas de tir "Diamant", évaluée à 50 millions d'euros, selon des éléments de l'enquête dont l'AFP a eu connaissance. Financés par le plan France Relance 2030, les projets sont soumis à un calendrier serré. Ainsi, le parc photovoltaïque a reçu une subvention de cinq millions d'euros à condition que les travaux soient réalisés avant fin 2023. "Retenir l'OFB" Bien conscient des enjeux, l'Etat a pu faire preuve de clémence. En septembre 2022, le secrétaire général de la préfecture d'alors, Mathieu Gatineau, et la DGTM élaborent une stratégie pour aligner les procédures de régularisation en cours avec le calendrier de France Relance. Dans un échange dont l'AFP a pris connaissance, le responsable préfectoral demande au directeur de la DGTM, Ivan Martin, de "tâcher de retenir l'OFB, s'agissant d'un projet d'intérêt régional majeur". Ce dernier le rassure: ses agents n'iront "pas contrôler" le site après sa mise en demeure pour éviter toute "sanction administrative". Aujourd'hui, la base spatiale dispose de toutes les autorisations nécessaires pour la réhabilitation de Diamant, reconnu en mai 2024 "d'intérêt général majeur". Une expertise judiciaire chiffre le préjudice écologique à 9,7 millions d'euros et la durée de restauration des sites abimés à plusieurs décennies. Saisi après un signalement de l'association guyanaise Cerato, le parquet de Cayenne a proposé au Cnes une convention judiciaire d'intérêt public (CJIP): l'abandon des poursuites contre 10.000 euros d'amende, 20.000 euros de dommages et intérêts et des mesures compensatoires sur trois ans. Solution insuffisante, a jugé le tribunal, qui l'a invalidée en juillet 2024. Le dossier Callisto a alors été joint à celui du champ photovoltaïque PV2 dans une procédure de reconnaissance préalable de culpabilité (CRPC), sorte de plaider-coupable à la française. Après plusieurs reports, l'audience de CRPC à Cayenne pourrait se tenir le 1er décembre, selon une source proche du dossier. La partie civile plaide pour une requalification en délit d'écocide, qui ouvrirait la voie à un procès correctionnel. Sollicités par l'AFP, ni les services préfectoraux, ni Mathieu Gatineau, ni l'ancienne substitut du procureur à l'origine de la CJIP n'ont donné suite. Le parquet n'a pas souhaité s'exprimer avant l'audience. La direction du Cnes ne fait "aucun commentaire" et s'en remet "à la décision de la justice".
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