Dans un sensible seul en scène au théâtre de Belleville, l’Ukrainien Viktor Kyrylov raconte comment la guerre a fait naître chez lui un sentiment d’appartenance à son pays qu’il avait quitté pour s’installer à Moscou.
Le cinéaste suédois revisite un scénario d’Ingmar Bergman, dans lequel un metteur en scène en perdition entretien un adultère fictif, mais aux sentiments bien réels, avec la femme de son meilleur ami.