En visite à Paris avec le président Lula, l’artiste au gouvernement depuis deux ans raconte la «reconstruction» du secteur de la culture, miné par l’extrême droite, et loue la création brésilienne, primée aux Oscars et à Cannes.
Plusieurs événements, dépendants d’un fonds soupçonné d’investir dans les territoires occupés par Israël, sont visés par des appels au boycott émanant aussi bien du public que des artistes. Avec en filigrane une critique du désengagement financier des pouvoirs publics.