L’institution anticipe une croissance de 0,7 % du produit intérieur brut cette année, puis de 0,9 % et 1,1 % en 2026 et en 2027, en invoquant notamment un «contexte national plus incertain».
Avant la mobilisation du 18 septembre, les représentants syndicaux reçus par le Premier ministre lui ont rappelé leurs exigences : abrogation de la réforme des retraites et remise à plat des aides aux entreprises.
Dans un entretien au quotidien «Le Parisien» ce lundi, François Villeroy de Galhau estime que le redressement des finances publiques doit être «ressenti comme juste».