Des partis politiques aux patrons, en passant par les agriculteurs et les syndicats, les oppositions semblent s’être données le mot pour mettre une pression maximale sur le nouveau locataire de Matignon.
Pour la philosophe, le mouvement du 10 septembre témoigne d’un certain désarroi des citoyens. La crise politique est la conséquence d’une négation des expressions citoyennes et d’une colère sociale qui ne trouve plus de débouchés politiques.