De premières discussions se sont déroulées jeudi avec le secrétaire d’Etat américain, Marco Rubio, et l’envoyé spécial Steve Witkoff, durant lesquelles un «soutien commun» à la volonté de Donald Trump de mettre un terme au conflit a été affirmé.
Tout à sa croisade anti-«wokisme», le président américain s’en prend désormais aux prestigieuses universités, symbole honni d’une certaine ouverture sur le monde. La résistance de Harvard, la plus riche d’entre elles, pourra-t-elle inspirer la révolte ?
Le Président mène une vaste campagne contre les universités, accusées d’être des foyers d’antisémitisme et de «wokisme». Harvard, qui a déjà perdu 2 milliards de dollars de subventions, a refusé de se soumettre au nouveau plan de réformes.