Faisant suite à une promesse formulée ce week-end dans la presse quotidienne régionale, le nouveau locataire de Matignon a annoncé lundi 15 septembre qu’il limitait les avantages dont bénéficient certains anciens membres d’un gouvernement.
Le groupe d’eurodéputés «Patriotes pour l’Europe» a proposé le nom de l’écrivain, emprisonné en Algérie depuis le 16 novembre, pour le prix annuel européen en faveur de la «liberté de l’esprit».
Avant la mobilisation du 18 septembre, les représentants syndicaux reçus par le Premier ministre lui ont rappelé leurs exigences : abrogation de la réforme des retraites et remise à plat des aides aux entreprises.