Des partis politiques aux patrons, en passant par les agriculteurs et les syndicats, les oppositions semblent s’être données le mot pour mettre une pression maximale sur le nouveau locataire de Matignon.
Si l’ex-président socialiste estime dans «le Figaro» qu’une «contribution des gros patrimoines est à la fois une nécessité budgétaire et une exigence morale», l’impôt proposé par l’économiste français et voulu par les socialistes pour ne pas censurer le futur budget Lecornu n’est pas forcément la bonne solution.
Le succès de fréquentation du rendez-vous annuel des communistes démontre qu’il reste à gauche une vraie base militante. Et si Mélenchon a lancé samedi une «offre fédérative», l’union se fait désormais sans les insoumis.