Le chef du parti d’extrême droite signe la fin d’une coalition obtenue après sept mois de négociations. Fruit de la discorde : des exigences de durcissement migratoire qu’il n’a pas pu imposer aux trois autres partis du gouvernement.
On pourrait croire que l’opération de ces petites mains du chaos est ratée puisqu’ils ont été démasqués trois jours après leurs méfaits. Mais il reste toujours quelque chose de ces tentatives de déstabilisation.