Avant la mobilisation du 18 septembre, les représentants syndicaux reçus par le Premier ministre lui ont rappelé leurs exigences : abrogation de la réforme des retraites et remise à plat des aides aux entreprises.
Le successeur de François Bayrou poursuit ses consultations avec un minimum de communication et, assure-t-on à Matignon, en toute «liberté». Mais la réalité de son autonomie vis-à-vis de l’Elysée reste à démontrer.
Dans un entretien au quotidien «Le Parisien» ce lundi, François Villeroy de Galhau estime que le redressement des finances publiques doit être «ressenti comme juste».