Le sénateur avait accusé TotalEnergies de «complicité de crimes de guerres en Ukraine». Vendredi 6 juin, le tribunal correctionnel a retenu la «bonne foi» de son discours.
La présidente d’Occitanie, virulente pourfendeuse du Premier secrétaire, avait menacé de claquer la porte du parti s’il était réélu. Ce dernier a remporté l’élection, jeudi 5 juin.