Ils sont nombreux à avoir quitté le Château et son chef, fragilisé par la dissolution. Et puis il y a ceux qui restent, fidèles envers et contre tout : ses forces spéciales et ses communicants. Pourquoi ? Ils se sont confiés à «Libération».
La tête d’affiche du Rassemblement national avait été condamnée fin mars à notamment cinq ans d’inéligibilité avec exécution provisoire, dans le cadre du procès des assistants parlementaires européens.
Au moins 105 000 adhérents seront appelés à voter les 17 et 18 mai, soit 66 000 personnes de plus qu’en février. C’est davantage qu’en 2022, mais bien moins qu’à l’époque du duel Copé-Fillon.