L’ancienne directrice de cabinet de Martine Aubry et actuelle députée, proche de Gérald Darmanin, se présente pour la deuxième fois aux élections locales de la ville du Nord. Pour mener campagne, elle tente de prendre ses distances avec le parti présidentiel.
Après l’adoption au Sénat d’une copie remodelée du budget 2026, les négociations écourtées entre les deux assemblées vont conduire le gouvernement à présenter une loi spéciale.
Une campagne aux airs de match retour dans le Nord. Les Ecologistes, menés par Stéphane Baly qui avait échoué par moins de 250 voix face à Martine Aubry en 2020, espèrent prendre le dessus sur son successeur, Arnaud Deslandes.
L’ex-numéro 3 du Rassemblement national devra se présenter devant la justice un an après son procès pour «prise illégale d’intérêts» pour une affaire d’attribution de marché public. Il a récemment quitté ses fonctions de vice-président du parti d’extrême droite.
Après des mois de tractations, le député macroniste Thomas Cazenave et la présidente du Parti radical Nathalie Delattre, ont fini par accoucher d’un accord pour les municipales. Le premier mènera la liste contre le maire sortant Pierre Hurmic.
Officiellement, la loi interdit certains livres racistes, antisémites ou négationnistes. En pratique, il aura fallu que «Libé» s’en mêle pour que Cultura et Amazon retirent en catastrophe des titres vendus sur leur site, ce vendredi 19 décembre.
Réunis en commission mixte paritaire, députés et sénateurs ne sont pas parvenus à trouver un compromis ce vendredi. Le Premier ministre va saisir le Conseil d’Etat.
En feuilletant les catalogues en ligne des grandes enseignes culturelles, «Libé» est tombé sur un inventaire sidérant : ouvrages négationnistes, racistes, des pamphlets suprémacistes interdits en France… Et a demandé des comptes aux entreprises concernées.
C’était une des demandes du Parti socialiste : mettre fin à la dégressivité de l’impôt sur les revenus pour les plus hauts patrimoines. Mais, en fin de parcours, il ne reste plus grand-chose des mesures envisagées pour les mettre à contribution dans le projet de loi de finances.
Alors que les négociations qui démarrent entre l’Assemblée et le Sénat en commission mixte paritaire ce vendredi 19 décembre sont plutôt mal emmanchées, le mystère reste entier sur la voie de passage pour faire adopter le projet de loi de finances.
Après avoir noué un accord pour le premier tour dans la capitale, les socialistes, écologistes, communistes et Place publique ont fait leur premier déplacement ensemble ce jeudi 18 décembre.
Le militant antinarco Amine Kessaci était invité par le maire, au dernier conseil municipal de l’année. Saluée par l’ensemble des élus, son intervention n’a pas empêché les chicayas politiques avant les élections de mars.
Contrairement à certains de ses camarades de LR, le président de la région Hauts-de-France a rejeté ce jeudi 18 décembre l’expression, apparue après les dernières élections législatives, qui est selon lui «une alliance entre la droite et l’extrême droite, au détriment de la première».
Christian Lehmann est médecin et écrivain. Pour «Libération», il tient la chronique d’une société touchée par les crises sanitaires et du service public. Aujourd’hui il alerte sur les dangers de la grippe et la nécessité de se faire vacciner.
Cette visite est révélatrice d’un Etat central qui observe ses marges depuis son centre. Pour l’universitaire Brahim Bouselmi et l’élu local Jean Kaspar rapprocher l’Etat de ses territoires, ce n’est pas l’affaiblir, c’est lui redonner une épaisseur politique.
Dans un courrier, l’édile écolo François Astorg a alerté sur cet événement organisé dans la commune de son confrère de La Roche-sur-Foron. Qui ne voit «aucun problème» à ce que ces réjouissances se tiennent.
Le garde des Sceaux a bien le droit, à titre personnel, de vouloir être présent pour ses proches ou son mentor quand ceux-ci vivent l’épreuve d’une condamnation ou d’une incarcération. Mais sa fonction l’engage à une forme de réserve dans la sphère publique.
Après avoir rendu visite à Nicolas Sarkozy en prison, le garde des Sceaux a adressé «une pensée plus qu’amicale» au président de la métropole européenne de Lille, condamné en appel.