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23:31 Soudan: le chef de l'armée se dit prêt à travailler avec Washington et Ryad pour parvenir à la paix

Le Conseil de souveraineté du Soudan, dirigé par le chef de l'armée Abdel Fattah al-Burhane, a déclaré mercredi être prêt à coopérer avec les États-Unis et l'Arabie saoudite pour parvenir à la paix dans le pays. 

Le Conseil a remercié Washington et Ryad pour "leurs efforts continus visant à mettre fin au bain de sang au Soudan", et exprimé sa "volonté de s'engager sérieusement avec eux pour parvenir à la paix que le peuple soudanais espère".

Cette déclaration fait suite à l'annonce par le  président américain Donald Trump de sa volonté de collaborer avec l'Arabie saoudite, les Émirats arabes unis et l'Égypte pour mettre fin au conflit entre l'armée soudanaise et les Forces de soutien rapide, une milice paramilitaire, qui déchire le pays depuis avril 2023. 

bur-lom/jsa/cab

© Agence France-Presse

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Le Conseil de souveraineté du Soudan, dirigé par le chef de l'armée Abdel Fattah al-Burhane, a déclaré mercredi être prêt à coopérer avec les États-Unis et l'Arabie saoudite pour parvenir à la paix dans le pays. 
Le Conseil a remercié Washington et Ryad pour "leurs efforts continus visant à mettre fin au bain de sang au Soudan", et exprimé sa "volonté de s'engager sérieusement avec eux pour parvenir à la paix que le peuple soudanais espère".
Cette déclaration fait suite à l'annonce par le  président américain Donald Trump de sa volonté de collaborer avec l'Arabie saoudite, les Émirats arabes unis et l'Égypte pour mettre fin au conflit entre l'armée soudanaise et les Forces de soutien rapide, une milice paramilitaire, qui déchire le pays depuis avril 2023. 
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21:35 Beirut one   Nawaf Salam : « Sans sécurité et stabilité, le Liban manquera l’occasion de se redresser »

Le Premier ministre Nawaf Salam a souligné mercredi l’importance cruciale de la sécurité et de la stabilité pour le redressement du Liban, à l’occasion de la clôture de la conférence Beirut One, organisée par le ministère de l’Économie et le Conseil économique, social et environnemental (CESE). « Sans sécurité et stabilité, le Liban manquera l'occasion de se redresser et les investissements ne viendront pas. La sécurité ne peut être assurée que si l’État étend son autorité légitime sur l’ensemble du territoire libanais », a déclaré M. Salam.

Le chef du gouvernement a également insisté sur le retour du Liban sur la scène arabe. « Le Liban est de nouveau présent dans le monde arabe, et le monde arabe commence à revenir vers le Liban. Nous espérons que l’interdiction sur les exportations libanaises sera levée », a-t-il ajouté. Il a également annoncé que « demain seront inaugurés les scanners au port de Beyrouth, et je suis convaincu que les Arabes reviendront au Liban ».

Lundi, quelques jours après l'annonce saoudienne, jeudi dernier, d’une relance prochaine des relations commerciales entre Riyad et Beyrouth, l’envoyé saoudien Yazid ben Farhane, en visite à Beyrouth, avait discuté avec Nawaf Salam des mesures sur la reprise des exportations libanaises vers l'Arabie saoudite. Le Premier ministre avait alors souligné « la nécessité pour les autorités concernées d'agir rapidement afin de lever tous les obstacles qui entravent ce secteur vital pour l'économie libanaise ». Il avait aussi « réaffirmé l'engagement du Liban de ne pas servir de plateforme pour déstabiliser la sécurité des pays arabes ni de point de passage pour le trafic de drogue ou toute autre marchandise interdite ».

Lors de la conférence mercredi, M. Salam a annoncé la fermeture de plus de 30 laboratoires de la drogue captagon. « Nous avons pris des mesures de sécurité sérieuses pour protéger le pays », a-t-il dit.

« Nous avons mis le pays sur une nouvelle voie et, pour la première fois, il y a un travail sérieux pour étendre l’autorité de l’État sur tout le territoire. Nous devons poursuivre cette trajectoire », a-t-il affirmé. Le Liban peine cependant à appliquer les décisions gouvernementales des 5 et 7 août visant à désarmer les milices, notamment le Hezbollah, qui rejette toujours cette option. Entre-temps, le risque d'une escalade militaire israélienne plane sur le pays, alors qu’Israël continue de bombarder le Liban-Sud et la Békaa en violation du cessez-le-feu entré en vigueur le 27 novembre 2024.

M. Salam a également mis en avant les efforts de réformes engagés par son gouvernement. « Le Liban reste un pays d’opportunités prometteuses. Nous avons entamé une série de réformes, mais il nous reste un long chemin et il est indispensable de les poursuivre », a-t-il déclaré. Il a insisté sur l’importance de l’accord avec le Fonds monétaire international (FMI). « Il ne faut pas envisager de revenir sur cet accord. Il est crucial, non seulement pour les fonds qu’il apportera, mais aussi parce qu’il constitue un certificat de bonne conduite ouvrant la voie aux investissements, a-t-il dit. Les réformes demandées par le FMI sont celles dont nous avons besoin. Nous devons notamment finaliser la loi sur la régularisation financière et une série d’autres réformes économiques ».

Concernant les dépôts bancaires, gelés par les restrictions mises en place illégalement par les banques depuis la crise financière de 2019, M. Salam a assuré que « tous les déposants récupéreront leur argent dans des délais raisonnables ». « Tous les déposants ne sont pas égaux », a-t-il ajouté. « Il y a ceux dont les dépôts sont légitimes et ceux dont ils ne le sont pas. Pour ceux dont les dépôts proviennent de la corruption ou du trafic de drogue, non seulement ils ne doivent pas récupérer leur argent, mais ils doivent être poursuivis et jugés ».

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21:10 Tensions   La Syrie condamne la visite de Netanyahu à des troupes israéliennes dans le sud du pays

Israël attache une « importance immense » à sa présence militaire dans la zone tampon en Syrie, a déclaré mercredi le Premier ministre, Benjamin Netanyahu, lors d'une visite à des soldats israéliens déployés dans cette zone censée être démilitarisée et sous le contrôle de l'ONU.

Le ministère des Affaires étrangères syrien a condamné « avec la plus grande fermeté cette visite illégale [que la Syrie] considère comme une grave violation de [sa] souveraineté et de [son] intégrité territoriale ». Il a dénoncé une « nouvelle tentative d'imposer un fait accompli qui contredit les résolutions pertinentes du Conseil de sécurité » des Nations unies.

« Cette visite, très publique, est pour le moins inquiétante », a déclaré le secrétaire général de l'ONU, Antonio Guterres par la voix de son porte-parole, Stéphane Dujarric, qui a appelé « Israël à respecter l'accord de désengagement de 1974 » ayant consacré cette zone tampon sous contrôle onusien. « Nous attachons une importance immense à notre capacité, tant défensive qu'offensive ici, à la protection de nos alliés druzes, et surtout à la protection de l'Etat d'Israël et de sa frontière nord bordant l'autre côté du Golan », a déclaré M. Netanyahu à des soldats stationnés dans la zone.

« C'est une mission qui peut évoluer à tout moment, mais nous avons confiance en vous » a ajouté M. Netanyahu dans une vidéo diffusée par son bureau, le montrant entouré de son ministre de la Défense, Israël Katz, et du chef de la diplomatie israélienne. Selon ses services, M. Netanyahu était également accompagné du lieutenant-général Eyal Zamir, chef d'état-major de l'armée israélienne, et du chef du Shin Bet, l'Agence de la sécurité intérieure, David Zini.

Dans la foulée de la chute du dirigeant syrien Bachar al-Assad en décembre 2024 et l'arrivée du nouveau pouvoir islamiste à Damas, Israël a mené des centaines de frappes en Syrie et déployé des troupes dans la zone démilitarisée sur le plateau du Golan, au-delà de la ligne de démarcation entre la partie de ce territoire syrien annexée unilatéralement par Israël en 1981 et le reste de la Syrie.

Accord de sécurité

Le passage médiatisé de M. Netanyahu par la zone tampon intervient une semaine après que le président syrien Ahmad al-Chareh - ex-jihadiste à la tête de la coalition ayant chassé M. Assad du pouvoir - a été reçu à Washington par son homologue américain Donald Trump.

M. Trump souhaiterait voir la Syrie intégrer les accord dits d'Abraham, legs diplomatique de son premier mandat ayant permis une normalisation des relations d'Israël avec trois pays arabes (Bahreïn, Emirats arabes unis et Maroc). Mais lors de sa visite à Washington - une première pour un président syrien - M. Chareh a déclaré que rien ne pressait et que l'occupation israélienne du Golan constituait un obstacle à une telle perspective. Il a néanmoins laissé entendre que les bons offices du président américain pourraient aider dans les discussions.

M. Netanyahu signifie régulièrement qu'il n'a aucune intention de restituer à la Syrie la partie du Golan conquise par Israël lors de la guerre israélo-arabe de 1967 et dont l'ONU ne reconnaît pas l'annexion. Israël est notamment intervenu militairement en Syrie en juillet en soutien aux druzes, lors d'affrontements intercommunautaires meurtriers entre ces adeptes d'une religion ésotérique issue de l'islam chiite et des bédouins sunnites, appuyés selon témoins et ONG par les forces de sécurité des nouvelles autorité.

Le gouvernement de M. Netanyahu a mis en garde le pouvoir de M. Chareh contre toute atteinte aux druzes en Syrie.

Pendant l'été, des contacts de haut niveau entre responsables israéliens et syriens ont eu lieu, avec l'aide de Paris et Washington. Les deux parties ont indiqué vouloir parvenir à un accord de sécurité. M. Netanyahu, exige pour cela une démilitarisation de toute la partie du territoire syrien courant du sud de Damas jusqu'à la ligne de démarcation de 1974, instituée après la guerre israélo-arabe de 1973 ayant consacré l'échec de la Syrie a récupérer la partie du Golan occupée par son voisin. 

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19:29 Liban   Israël accuse le Hezbollah de reconstruire ses capacités à Beit Lif, tout près de la frontière

L'armée israélienne a accusé mercredi soir le Hezbollah de reconstruire ses capacités militaires dans le village libanais de Beit Lif (caza de Bint Jbeil), à quelques kilomètres de la frontière nord d’Israël, dénonçant une « violation flagrante » du cessez-le-feu entré en vigueur en novembre 2024. Quelques heures après ces accusations, l'armée libanaise s’est rendue sur place, selon les informations de notre correspondant au Liban-Sud, Mountasser Abdallah.

Le parti chiite « s'efforce de reconstruire ses capacités dans le village de Beit Lif, dans le sud du Liban en violation flagrante » des termes de la trêve parrainée par les Etats-Unis et la France, indique un communiqué militaire. L'armée israélienne a « identifié des dizaines de sites d'infrastructure terroriste dans la région du village, notamment des quartiers généraux et des dépôts d'armes », ajoute l'armée, affirmant que le Hezbollah les dissimule « dans des maisons des civils », et pour certains « à proximité » d'une école, un hôpital ou encore une mosquée.

Après les accusations de l'armée israélienne, les habitants de Beit Lif ont lancé un appel urgent au commandement de l'armée libanaise, au président libanais, au Premier ministre et au chef du Parlement, afin de déployer rapidement des troupes pour protéger les civils. « Nous, habitants de Beit Lif, femmes, hommes, enfants et personnes âgées, sommes revenus sur nos terres et avons repris notre vie, sommes retournés à l'école et au travail, nous nous levons avant le soleil et courons après notre main quotidien. Nous n'accepterons pas que nos terres nous soient enlevées sous un prétexte fallacieux. C'est ici que nous avons grandi, c'est ici que nous resterons et c'est ici que nous mourrons », ont-ils déclaré dans un communiqué.

Le président du conseil municipal, Izzat Hammoud, a pour sa part contacté le commandant en chef de l’armée, le général Rodolphe Haykal, pour demander l’envoi de patrouilles afin de rassurer la population. Peu après, des unités de l’armée libanaise ont été déployées dans la localité, rejointes par les Casques bleus, a confirmé à L’Orient-Le Jour la porte-parole de la Finul.

Plus tôt dans la journée, l’armée israélienne avait frappé les villages de Deir Kifa, Chahour, Aïnata et Tayr Felsay, affirmant viser des infrastructures du Hezbollah.

Israël mène régulièrement des frappes au Liban, affirmant cibler le parti chiite, malgré le cessez-le-feu de novembre 2024, conclu après plus d’un an d’hostilités. Le Hezbollah, très affaibli par le conflit, fait face à une pression accrue des États-Unis sur les autorités libanaises pour procéder à son désarmement, ce qu’il refuse. Malgré la trêve, Israël maintient par ailleurs des troupes dans au moins cinq zones du Liban-Sud, ce que Beyrouth considère, avec la poursuite des frappes, comme des violations de l’accord.

Mercredi à l’aube, le ministère libanais de la Santé a fait état d’un mort et de 11 blessés dans une frappe israélienne contre un véhicule à Tiri. Israël a affirmé avoir tué un membre du Hezbollah, tandis que l’Agence nationale d'information (Ani, officielle) rapporte que la victime travaillait pour la municipalité. L’attaque a eu lieu au moment où un bus transportant des étudiants passait, plusieurs d’entre eux ayant été blessés.

La veille, l’armée israélienne avait frappé ce qu’elle présentait comme un camp d’entraînement du Hamas dans le camp de réfugiés palestiniens deAïn el-Héloué, faisant 13 morts selon le ministère libanais de la Santé.

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19:12 Cessez-le-feu à Gaza   La rencontre entre Witkoff et Hayyé aurait été annulée sous pression israélienne

La rencontre prévue mercredi à Ankara entre l'envoyé spécial américain Steve Witkoff et le négociateur du Hamas dans la bande de Gaza, Khalil Hayyé, aurait été annulée sous la pression directe d’Israël, ont indiqué des sources palestiniennes à la chaîne panarabe Al-Mayadeen. Cette annulation intervient alors que la première phase du plan de paix du président Donald Trump touche à sa fin, tandis que la seconde phase se heurte à de nombreux obstacles, notamment le désarmement du mouvement islamiste, la mise en place d’une force internationale de stabilisation et les conditions du retrait des troupes israéliennes.

Selon Al-Mayadeen, cette décision fait suite à un mécontentement croissant au sein des institutions sécuritaires israéliennes, après la divulgation de la tenue prévue de cette rencontre. De son côté, le site israélien Walla a rapporté que les services de sécurité israéliens avaient exprimé leur « vive colère », estimant que la rencontre constituerait une reconnaissance du statut du Hamas et compliquerait les négociations israéliennes avec le mouvement palestinien.

L’expert en affaires palestiniennes Hani al-Dali avait annoncé mardi à Al-Mayadeen que la rencontre devait se tenir mercredi à Ankara, confirmant une information déjà évoquée par le New York Times vendredi dernier, sans en préciser la date. Selon le média américain, l’entretien devait porter sur le cessez-le-feu entre le Hamas et Israël.

Une précédente rencontre entre Steve Witkoff et Khalil Hayyé avait eu lieu en octobre dernier à Charm el-Cheikh, quelques instants avant la signature de l’accord de cessez-le-feu, en présence de Jared Kushner, gendre du président Trump. Dans une interview diffusée également en octobre sur CBS dans le cadre de l’émission 60 Minutes, Steve Witkoff a indiqué avoir présenté ses condoléances au responsable palestinien pour la mort de son fils lors d’une attaque israélienne au Qatar.

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18:54 Trêve   Gaza: la Défense civile annonce 11 morts dans les frappes israéliennes

La Défense civile de la bande de Gaza a annoncé mercredi la mort de 11 personnes dans des bombardements israéliens à travers le territoire où l'armée israélienne a indiqué mener des frappes contre le Hamas en riposte à ce qu'elle a présenté comme une violation de la trêve.

Les frappes israéliennes ont fait six morts à Gaza-ville, et cinq, dont deux enfants, dans la région de Khan Younès, dans le sud du territoire, selon la Défense civile de Gaza, organisation de premiers secours opérant sous l'autorité du mouvement islamiste palestinien Hamas.

L'armée israélienne a accusé « plusieurs terroristes [d'avoir] ouvert le feu [mercredi] en direction de la zone où [ses] soldats opèrent à Khan Younès ». Ces tirs n'ont fait aucun blessé mais constituent « une violation de l'accord de cessez-le-feu », indique un communiqué militaire, ajoutant qu' »en réponse [l'armée israélienne avait] commencé à frapper des cibles terroristes du Hamas dans toute la bande de Gaza ».

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