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Rubrique «À LIRE AILLEURS»

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03.06.2025 à 16:00

Loi « fin de vie » dans un monde fasciste, une complicité eugéniste

Ce mardi 27 mai, l'assemblée a voté pour la loi « fin de vie ». Derrière ces mots bien propres et bien présentables, ce qui se cache, c'est une loi qui légalise l'euthanasie. Texte de la Samba 93

Texte intégral (598 mots)

Ce mardi 27 mai, l'assemblée a voté pour la loi « fin de vie ». Derrière ces mots bien propres et bien présentables, ce qui se cache, c'est une loi qui légalise l'euthanasie. Texte de la Samba 93

Ces mots, ils sont là pour nous faire croire à l'image de la fin paisible de personnes condamnées à court terme par une maladie incurable. En somme le choix entre une mort imminente, et une mort imminente mais sans douleur. Un coup du sort imprévisible, qui pourrait toucher n'importe qui.

Entendons-nous bien : oui, le droit à disposer de son corps inclut le suicide, et le droit à une mort dans les meilleures conditions possibles, mais ce n'est en réalité pas la question ici. Cette loi n'a rien d'émancipateur, y compris pour les personnes qui souhaiteraient mourir, car ce choix sera toujours psychiatrisé et contrôlé par le pouvoir médical.

D'autant que, dans les conditions politiques et historiques qui sont les nôtres, ce n'est pas un coup du sort que de vouloir mourir, c'est socialement situé. En réalité, celleux qui seront le plus largement concerné·es par cette loi, ce n'est pas une maladie qui les condamne à une mort certaine : c'est une société validiste qui les condamne à la perte d'autonomie, aux violences médicales, et à un accès aux soins dégradé voire inexistant.

Et ceci n'est pas le fruit du hasard. Les attaques répétées contre l'Allocation Adulte Handicapé·e, la volonté affichée de faire des économies sur les ALD (protocoles de soin pour les Affections Longues Durées, incluant le remboursement de traitements coûteux et réguliers), et maintenant la loi « fin de vie » sont les manifestations les plus frappantes de cette société validiste et eugéniste. C'est à dire une société qui se permet de décider qui est assez productif et « mène une vie qui vaut la peine » pour avoir le droit de vivre, et qui devrait souhaiter la mort pour retrouver sa « dignité ».

Depuis le début de la pandémie de COVID 19, on a construit la catégorie de « personne fragile », on y a mis les vieilleux, les handicapé·es, les malades chroniques, les plus précaires… et peu à peu, on est devenu·es à l'aise avec leur élimination par l'organisation politique du déni. En somme, on a appris l'eugénisme.

Cet eugénisme, il est aussi une manifestation de la fascisation qui accélère chaque jour un peu plus dans la sphère euro-occidentale. C'est la nécropolitique des états coloniaux qui, après avoir mis en place les politiques de violence, d'asservissement et de mort dans les espaces colonisés, étendent peu à peu leur droit à décider de la mort sociale ou physique de celleux qui sont jugés indésirables.

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03.06.2025 à 15:00

Création d'un Front de Gauche Antivalidiste pour lutter contre la loi sur l« aide à mourir »

Pour lutter contre la loi sur l« aide à mourir » et interpellez les députés sur le sujet, les militant.es anti-validistes ont formé.es le FGA, le Front de Gauche Anti-validiste. Ce texte est une copie de la lettre ouverte qu'iels ont rédigé pour interpeller les député.es avant le vote de la loi à l'assemblée.

Texte intégral (2354 mots)

Pour lutter contre la loi sur l« aide à mourir » et interpellez les députés sur le sujet, les militant.es anti-validistes ont formé.es le FGA, le Front de Gauche Anti-validiste. Ce texte est une copie de la lettre ouverte qu'iels ont rédigé pour interpeller les député.es avant le vote de la loi à l'assemblée.

Mesdames, Messieurs les député·es,

Vous examinez actuellement la proposition de loi relative à « l'aide à mourir », qui propose de légaliser en France l'euthanasie et le suicide assisté pour les malades qui demandent à mourir.

Par cette lettre ouverte, nous vous saisissons en tant que collectifs et associations de personnes handicapées, de personnes valides, membres de la société civile et soignant·es, engagé·es comme vous à gauche, afin de vous alerter devant l'extrême dangerosité de ce texte.

Rappelons à titre préalable que, contrairement à ce qui a été dit dans l'hémicycle et dans les médias, ce texte concerne bien une large proportion de personnes à la fois malades et handicapées. En effet, la distinction entre « handicap » et « maladie » apparaît totalement artificielle sur le sujet. Si le handicap résulte de l'interaction entre les limitations d'une personne et les obstacles qui l'empêchent de participer pleinement à la société (article 1 de la Convention de l'ONU relative aux droits des personnes handicapées ratifiée par la France), la maladie, quant à elle, est justement l'une des principales causes des limitations évoquées, qui peuvent être physiques intellectuelles ou sensorielles. Par conséquent, si toutes les personnes handicapées ne sont pas malades, de très nombreuses personnes malades sont aussi, de fait, handicapées. Il n'est donc pas nécessaire que le texte fasse référence au handicap, qui est une catégorie sociale, là où la maladie est une notion biomédicale, pour avoir vocation à s'appliquer à des personnes handicapées.

Les critères retenus par l'article 2 du texte relatif à « l'aide à mourir » qui n'ont rien de strict, confirment d'ailleurs que des personnes malades et handicapées, tous types de handicaps confondus, seront éligibles au dispositif et même qu'une grande partie des maladies invalidantes prises en charge par la sécurité sociale au titre des affections longue durée seront concernées.

De plus, si ce projet de réforme initialement relatif « à la fin de vie », rebaptisé « aide à mourir », prétendait concerner uniquement les personnes malades et handicapées dont le pronostic vital était engagé à court terme ou moyen terme, il est désormais clair que son dessein va bien au-delà des situations de « fin de vie » et qu'il est destiné aux personnes malades et handicapées dont la mort n'est ni imminente, ni proche, ni même prévisible, soit un nombre considérable de personnes.

Dans une société en plein effondrement social, dans laquelle l'hôpital est à l'agonie, les aides humaines et matérielles à domicile dramatiquement insuffisantes, et où le handicap, la vieillesse, la dépendance conduisent à l'exclusion et à la relégation dans des institutions, il ne fait aucun doute qu'avec ce texte de nombreuses personnes malades, handicapées et âgées se retrouveront contraintes de demander à mourir, non par réelle envie de mettre fin à leurs jours, mais parce qu'elles n'auront tout simplement plus les moyens de se soigner, de continuer à vivre et d'échapper à des souffrances auxquelles la société pourrait remédier si elle en faisait sa priorité.

Invoquer la liberté individuelle ou l'instauration d'éventuels « remparts » pour balayer d'un revers de main ce risque évident ne suffit pas.

La gauche ne peut ignorer qu'il n'y a pas de liberté sans égalité et que dans une société aussi inégalitaire que la nôtre, tout le monde ne bénéficie pas réellement de la même marge de manœuvre dans ses choix. La liberté des personnes malades et handicapées en particulier est des plus réduite quel que soit le domaine. La plupart d'entre elles vivent dans la pauvreté, ne choisissent ni leur lieu, ni leurs conditions de vie ou de soins, ni leurs aidants et sont soumises à d'innombrables pressions d'ordre familial, médical, et social. Alors même que les politiques publiques menées contribuent bien souvent à organiser leur précarité et leur dépendance et les privent de la maîtrise de leur existence, il est particulièrement hypocrite de prétendre qu'elles pourraient soudainement retrouver leur entière liberté au moment – seulement – du choix de leur mort. Cette hypocrisie est d'autant plus grave, que la société s'évertue également chaque jour à convaincre ces mêmes personnes malades et handicapées que leur mort est toujours préférable à leur maintien en vie puisqu'elles sont considérées comme inutiles, improductives et comme un poids pour le reste de la collectivité.

Par ailleurs, nous attirons votre attention sur le fait qu'aucune garantie, quelle qu'elle soit, ne sera de nature à sécuriser ce texte et à prévenir, d'une part, que des personnes malades et handicapées se dirigent vers ce dispositif par défaut, d'autre part, qu'il soit étendu à toujours plus de malades. Les exemples étrangers des pays ayant légalisé le suicide assisté et l'euthanasie, comme le Canada, sont sans appel. Une fois le principe adopté, l'élargissement des critères (maladies psychiatriques, mineurs, personnes âgées via les polypathologies, personnes atteintes de troubles cognitifs), l'augmentation des demandes, y compris pour des raisons plus sociales que médicales, est inéluctable. Aujourd'hui l'euthanasie représente 7% des décès au Québec, et un quart des Québecois estime dorénavant que la précarité devrait être un critère pour l'accès à l'euthanasie.

Ces dérives ne sont pas de simples conséquences malheureuses mais sont consubstantielles à ce type de texte. En effet, en légalisant le suicide assisté ou l'euthanasie, soit en réalité deux modalités de suicide, le suicide deviendrait un droit. Dès lors qu'il s'agira d'un droit, comment justifier la prévention du suicide tant à l'égard des personnes malades et handicapées que du reste de la population ?

Comment s'opposer sur la durée et sans se contredire à ce que ce droit soit étendu à plus que les personnes malades ou en souffrance qui le revendiquent ? Comment ne pas être amené·e à mettre en concurrence les souffrances et à opérer un tri entre les idées suicidaires, entre les vies qui méritent d'être vécues et soutenues et celles qui ne le méritent pas ? Comment ne pas s'apercevoir que la simple existence de ce droit constituera une incitation au suicide pour les personnes éligibles en permettant un passage à l'acte rapide et simple, là où l'obtention des soins et des aides est longue et complexe ? La réponse légale et collective apportée à la question du suicide doit rester cohérente et ne peut décemment se permettre de faire une distinction entre les personnes malades et celles bien portantes comme le propose ce texte. Sinon, c'est toute la politique publique de prévention du suicide qui se retrouverait anéantie et la hiérarchisation des vies légitimée.

En tant qu'élu·es de gauche vous avez une responsabilité particulière. Vous ne pouvez soutenir ce projet sans trahir vos valeurs. Dans la période lugubre que nous vivons, dans laquelle les idées fascisantes et eugénistes se déploient sans complexe, dans laquelle le système économique et l'abandon de la santé publique fragilisent les personnes malades et handicapées, tout en augmentant leur nombre, vous ne pouvez avoir la mort pour seul horizon à leur offrir. Vous ne pouvez l'assimiler à un soin ou à un quelconque « progrès », ni prétendre qu'elle est « une solution », et mettre ainsi en danger la vie des plus vulnérabilisées d'entre elles. Vous vous devez de proposer, au contraire, aux personnes malades et handicapées des perspectives d'amélioration de leurs conditions de vie et défendre des mesures susceptibles de remédier à toutes les souffrances et les morts qui peuvent être évitées.

Eu égard à tout ce qui précède, nous, organisations et citoyen·nes signataires de cette tribune, vous demandons instamment de vous opposer totalement et fermement à cette proposition de loi et de voter contre le 27 mai prochain.

Nous comptons sur vous,

Pour signer, cliquez ici.

Le Front de gauche anti-validiste composé de : Collectif JABS, Le CLHEE : Collectif Lutte et Handicaps pour l'Egalité et l'Emancipation, Handi-Social, CUSE : Collectif Une Seule École, CLE Autistes, Les Dévalideuses, Collectif de Lutte Anti-Validiste (CLAV), Corps Dissidents, Elisa Rojas, Avocate et militante, Elena Chamorro, enseignante et militante, Odile Maurin, élue municipale, présidente d'Handi-Social, Johanna-Soraya Benamrouche, militante

Soutien, associations, collectifs : ARRA Association pour la Réduction des Risques Aéroportés, l'association Winslow Santé Publique, #NousToutes, SNJMG syndicat national des jeunes médecins généralistes, Pour une Santé Engagée et Solidaire, collectif d'étudiant·es en santé de Sorbonne Université, L'Observatoire Féministe des Violences Médicales, Collectif 25 Novembre, Féministes contre le cyberharcèlement, Collectif Génération Panasiatique, Les Dégommeuses, AcceptessT, Collectif Queer du Pays de Redon, Collectif Dévalidiste du Pays de Redon, Transistor Collectif, association d'auto soutien trans et TDS (travailleureuses du sexe), Syndicat handi angoumoisin, Cabrioles, Carnet de recherche pour l'autodéfense sanitaire face au Covid-19, Association les Cousines de L'Est, Mask Bloc Lille, Mask Bloc Lyon, Paye ta Psychophobie, Espace QG - Bibliothèque Queer&Genres, FURAX

Soutien, signatures individuelles : Plus de 300 militante·s anti-validistes et pour la justice sociale, personnes handicapées et membres de la société civile, élu·es, soignante·s, syndicalistes, journalistes, retraité·es, chercheureuses… (la liste complète sera publiée en ligne)

Grace Ly, autrice ; Laura Nsafou, autrice ; Amandine Gay, autrice et réalisatrice ; No Anger, artiste ; Elsa Dechézeaux, médecin généraliste ; Mélina Germes, chercheure au CNRS ; Alexandre Legrain, militant antivalidiste, syndicaliste Solidaires ; Rizzo Boring, artiste handie et militante associative en santé communautaire, Ahmed Hammad, militant-e à Handi-Social et autonomie de classe ; Alex Deval, militant écologiste & pour les droits des personnes LGBTQIA+, handicapé invisible, Mathieu Bellahsen, psychiatre et lanceur d'alerte ; Catherine Fromage, élue locale ; Lydie Raër, activiste aux Dévalideuses et conseillère municipale écologiste à Ivry-sur-Seine ; Olivia Draghici Campolo, AESH ; Daisy Letourneur, autrice et militante transféministe ; Schnell Julien, syndicaliste CGT ; Fatima Benomar, militante féministe ; Latifa Oulkhouir, directrice de l'association le mouvement ; Aden Nasteho, conseillère municipale et territoriale ; Nina Faure, réalisatrice ; Anne-Sophie Bosson, retraitée ; Faroudja Hocini, Psychiatre, psychanalyste, aidante ; Asiya Bathily, réalisatrice et soignante ; Nadia Morand, activiste aux Dévalideuses, sexologue clinicienne ; Sufjan Valero, illustrateur et artiste, handicapé/malade chronique ; Luck, artiste, membre du Clav ; Nawal Zouak Seddiki, Balance Ton Boss et Inclusivité·es ; Naël.le “Zoriaah”, illustratrice, autiste ; Arthur Picou, Salarié grande surface ; Mounia El-Kotni, anthropologue ; Élijah Djaé, artiste et militant-e anti-validiste, Selma Oumari, bibliothécaire, militante CGT ; Sahara Azzeg, artiste militant queer crip spécialiste des questions d'arts militants handi queer contemporain ; Emily Tante, Drag-queen ; Alexia Soyeux, podcast Présages, Eva Doumbia, metteuse en scène et autrice anti-raciste ; Zig Blanquer, militant autonomiste et plus de 300 autres, Sarah Zouak, co-fondatrice de l'association Lallab ; Aaliyah Xpress, Drag Queen ; ElliTessier, Militant lgbtqia+ et handicapé ; Tara Dickman, Responsable associative, formatrice et enseignante

Pour aider dans cette lutte vous pouvez vous informez sur ces sites :
https://stoploieuthanasie.fr
https://linktr.ee/viedigne

et signez la lettre aux député.es : https://framaforms.org/lappel-du-front-de-gauche-anti-validiste-contre-la-loi-euthanasie-1747852505

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03.06.2025 à 14:00

Rassemblement contre l'extrême droite européenne

Appel à mobilisation à Montargis – 9 juin 2025

Non à la venue de Viktor Orban, Matteo Salvini, Geert, Wilders, Marine Le Pen, Jordan Bardella sur notre territoire pour une fête « champêtre. »

Texte intégral (917 mots)

Appel à mobilisation à Montargis – 9 juin 2025

Non à la venue de Viktor Orban, Matteo Salvini, Geert, Wilders, Marine Le Pen, Jordan Bardella sur notre territoire pour une fête « champêtre. »

📢 Appel à mobilisation à Montargis – 9 juin 2025
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Contre le fascisme dans nos campagnes : faisons entendre une autre voix !

Le 9 juin, un rassemblement de l'extrême droite se tiendra à Mormant-sur-Vernisson, un village de 133 habitant·es situé juste à côté de Montargis. À l'occasion de l'anniversaire de leur victoire aux élections européennes, Marine Le Pen, Jordan Bardella et les figures les plus notoires de l'extrême droite européenne – de Viktor Orbán (Premier ministre hongrois) à Matteo Salvini (Italie), en passant par Geert Wilders (Pays-Bas) – sont attendus pour prendre la parole dans une prétendue « ambiance festive ».

🌊Un large front unitaire s'organise. Partis de gauche du Loiret (Nouveau.Front.Populaire , NPA, Révolution permanente etc) syndicats (CGT, Confédération Paysanne etc) groupes antifascistes (Loiret soulève toi, Collectif Antifasciste Orleans etc ) associations féministes ; écologistes, de soutien à la Palestine, ainsi que de nombreux citoyen·nes engagé·es du territoire. Ensemble, nous appelons à une grande marche contre le fascisme à Montargis, le 9 juin, suivie d'un festival populaire avec tables rondes (conditions de vie des femmes et personnes LGBT+ en milieu rural, écologie et extrême droite etc.) et concerts.

🌋Les invité-es qui ont confirmé leur présence : Edwy Plenel (Mediapart), Manon Aubry (LFI), Louis Boyard (LFI) Ian Brossat (PCF), Sophie Binet (CGT), Sarah Durocher, présidente nationale du planning familial et habitante du Loiret, L'observatoire nationale de l'extrême droite , Ugo Palheta, sociologue spécialiste de l'extrême droite, Pauline Ferrari, journaliste spécialiste des mouvements masculinistes, Camille Bordenet, journaliste spécialiste des ruralités, Mehdi Lallaoui, écrivain et réalisateur engagé dans les luttes antiracistes et anticolonialistes, Le Gâtinais Libre et encore plein d'invité-es, d'assos et collectifs à venir.

Les concerts et shows prévues : le rappeur Irracible, la coopérative drag d'Orléans, Neniu, musicien de la Résidence des Mills à Châtillon-sur-Loire, Gatien, le collectif Planète Boum Boum.

 Montargis est accessible depuis Paris : le Transilien R part chaque heure de la Gare de Lyon et vous y emmène en 1h45.
Nous avons besoin de vous pour transformer cette journée en un puissant acte de résistance populaire face à l'extrême droite.
Le Pen, Bardella, Orbán et les autres ne sont pas les bienvenus ici. 
Le 9 juin, soyons nombreuses et nombreux à Montargis !!!

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03.06.2025 à 13:12

Justice et vérité pour Alhoussein Camara le samedi 14 juin 2025

Marche pour demander justice et vérité pour Alhoussein Camara le samedi 14 juin 2025 (date anniversaire de sa mort), à 15h depuis le Foyer Jeunes Travailleurs à Angoulême.

Texte intégral (961 mots)

Marche pour demander justice et vérité pour Alhoussein Camara le samedi 14 juin 2025 (date anniversaire de sa mort), à 15h depuis le Foyer Jeunes Travailleurs à Angoulême.

Marche pour demander justice et vérité pour Alhoussein Camara le samedi 14 juin 2025 (date anniversaire de sa mort), à 15h depuis le Foyer Jeunes Travailleurs à Angoulême.

Nous vous sollicitons pour diffuser un reportage sonore de 24 minutes documentant la marche de l'année précédente comportant les prises de paroles d'amis d'Alhoussein, de Karfa Dialo du réseau Mémoire et Partage, portant la voix des parents d'Alhoussein en Guinée Conakry, du collectif Désarmons-les, du Syndicat des travailleurs sans papiers de Grenoble, de la Ligue des Droits de l'Homme et de Charente Palestine. Ce documentaire sonore explique aussi la répression subie et l'annulation de matchs de foot commémoratifs par les municipalités d'Angoulême et de Villenave-d'Ornon, avec la pression du syndicat Alliance Police.

Alhoussein Camara était un jeune guinéen de 19 ans, qui en se rendant à son travail à quelques kilomètres d'Angoulême, le mercredi 14 juin 2023 à 4h du matin, fut victime d'un contrôle de police ayant fini par un tir mortel d'un agent sur sa personne. Deux semaines avant la mort de Nahel Merzouk, tué par un policier à Nanterre.

Le policier auteur du tir décrit avoir été mis en danger par une manœuvre de la voiture, justifiant la mort du conducteur par légitime défense. Cette nuit là, les caméras des policiers ne fonctionnent pas, mais déjà de nombreux éléments contredisent leur version des faits. L'affaire ne bénéficie d'aucune couverture médiatique nationale, ni d'un soutien effectif des institutions locales. Tout concourt à réduire au maximum la communication sur l'enquête ainsi que le soutien à ses proches et à sa communauté.

Dans la commune angoumoisine, les quartiers dits prioritaires s'embrasent pendant plusieurs nuits.Les médias nationaux commencent à relayer l'affaire. De nouveaux éléments de l'enquête relayés par la cellule d'investigation de Radio France et de Médiapart permettent de continuer de remettre en question les déclarations contradictoires des policiers présents au moment de la mort d'Alhoussein.

L'autopsie effectuée le 15 juin 2023 rapporte que le tir était orienté de gauche à droite, d'arrière en avant et très légèrement ascendant : Alhoussein est mort d'une balle dans le dos, contredisant la version du tireur qui disait se situer à l'avant du véhicule.

Nous voulons continuer de faire vivre la mémoire d'Alhoussein, de lutter contre l'invisibilisation de cette affaire par la mairie d'Angoulême qui n'agit que par son silence, et les préfectures annulant les évènements commémoratifs comme les matchs de foot avec l'équipe dont il faisait partie. Nous marcherons pour demander justice et vérité, rassembler les communautés contre l'engrenage oppressif de plus en plus violent subi par les populations racisées et précarisées au profit des organes du pouvoir.

Plusieurs membres du collectif sont documentaristes et participent de radios contemporaines d'interventions. Nous avons réalisé ce reportage de 24 minutes documentant la marche 2024 et les hommages empêchés par des préfectures et des municipalités subissant des pressions notamment du syndicat de police Alliance.

Commémoration pour Alhoussein Camara : un hommage entravé
Reportage à retrouver sur Radio Parleur

Nous vous proposons à l'instar de Radio Parleur de diffuser ce reportage pour continuer à médiatiser l'affaire, mais aussi partager la mémoire d'Alhoussein Camara et informer de la marche qui se tiendra à Angoulême le samedi 14 juin 2025 à 15h, depuis le Foyer des Jeunes Travailleurs où il vivait.

Voici un lien pour récupérer le documentaire :
https://www.swisstransfer.com/d/97cf3198-ac17-47d3-8e44-30007ae6402d

Si la durée est trop longue pour une diffusion en entier sur votre radio, n'hésitez pas à recouper si vous souhaitez en faire une brève pour des temps type format magazine d'informations.

Pour honorer sa mémoire, soutenir sa famille et ses proches, obtenir justice pour lui et toutes les autres victimes de violences policières et d'État. Les organisations se font, la lutte continue. Pas de Justice, pas de Paix.

Nous sommes disponibles pour toutes demandes d'informations.

Le collectif Justice Pour Alhoussein

@justicepouralhoussein

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03.06.2025 à 12:33

AG du collectif des jeunes du parc de Belleville ce soir !

Ce mardi 3 juin à 17h salle Eugène Varlin à la bourse du travail de Paris (3 rue du Château d'eau, Paris 10e).

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Ce mardi 3 juin à 17h salle Eugène Varlin à la bourse du travail de Paris (3 rue du Château d'eau, Paris 10e).

AG du collectif ensemble pour la scolarisation et contre la répression !!

Face aux attaques de l'extrême droite nous devons être le plus nombreux possible 🚨 Les droits à la scolarisation des mineurs isolés sont menacés, MOBILISONS NOUS !

👉 MARDIJUIN - 17H À LA BOURSE DU TRAVAIL
📍3 rue du Château d'Eau 75010 - Metro République

Soyons nombreux-ses !

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03.06.2025 à 10:00

Projection – discussion : le racisme dans la police

À l'invitation du Groupe libertaire d'Ivry, projection du film «  À nos corps défendants  » suivie d'une discussion, à la librairie Publico le 15 juin à 16h.

Lire la suite (420 mots)

À l'invitation du Groupe libertaire d'Ivry, projection du film «  À nos corps défendants  » suivie d'une discussion, à la librairie Publico le 15 juin à 16h.

À nos corps défendants – Un film de IanB sur les violences d'État (2020, 90 min)
Le reportage sur le quotidien des policiers que vous ne verrez jamais à la télé

Ce documentaire se veut une approche sensible et radicale des violences psychologiques et physiques infligées aux habitant/es des quartiers populaires par la police.

Il ne raconte pas des «  bavures  », mais entend montrer les manifestations ordinaires d'un système d'oppression et de répression dans lequel les «  forces de sécurité  » sont utilisées pour faire du «  maintien de l'ordre  » (social).

Les faits sont rapportés par les premier/es concerné/es : pas de sociologues, pas d'historiens, pas de journalistes. Juste la parole de celles et ceux qu'on voudrait voir silencieux/es : Wassil Kraiker et ses parents Zohra et Abdelaziz, des jeunes d'Argenteuil, Amine Mansouri et son père Moustapha, Ali Alexis et son épouse, Ramata Dieng et Farid El Yamni…

Il est question de racisme, de violence d'État et d'un combat vital pour la vérité. Les protagonistes de ce film n'avaient pas choisi de devenir un jour visibles  ; mais les violences systémiques en ont fait des combattant/es, à leurs corps défendants.

Dimanche 15 juin 2025 à partir de 16 heures
Entrée libre (accueil dès 15 heures)
Librairie du Monde Libertaire (Publico)
145 rue Amelot, 75011 Paris
Métro Oberkampf / République / Filles du Calvaire

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02.06.2025 à 13:00

Etat d'urgence, 10 ans après : Quelles résistances face à la répression et la surveillance ?

Dans le cadre de l'événement « État d'urgence, 10 ans après », les organisations de l'Observatoire des libertés et du numérique organisent un après-midi d'ateliers, conférences, projection et échanges pour faire le point sur 10 ans de dérives autoritaires et comment y résister, suivie d'une soirée pour célébrer nos luttes.
samedi 7 juin 13h30 - minuit : Les Amarres
24 Quai d'Austerlitz 75013 Paris

Texte intégral (733 mots)

Dans le cadre de l'événement « État d'urgence, 10 ans après », les organisations de l'Observatoire des libertés et du numérique organisent un après-midi d'ateliers, conférences, projection et échanges pour faire le point sur 10 ans de dérives autoritaires et comment y résister, suivie d'une soirée pour célébrer nos luttes.
samedi 7 juin 13h30 - minuit : Les Amarres
24 Quai d'Austerlitz 75013 Paris

Programme :

13h30h : Accueil

13h45 : Discussion - Retour sur la dernière décennie de répression : quel constat ? comment lutter ?
Avec les membres des associations de l'Observatoire des Libertés et du Numérique

14h45 - 16h45 : Atelier - Compréhension et échange sur les outils de surveillance étatique

15h00 - 16h00 : Atelier - Comprendre comment utiliser les outils juridiques (CADA, CNIL) pour obtenir de l'information des administrations et documenter les politiques de surveillance
Par Technopolice Paris-Banlieue

15h - 17h : Discussion - Table ronde sur les violences d'État.
Avec le Collectif de soutien aux inculpé·es du 8 décembre, la Coordination contre la répression et les violences policières Paris-IDF, la campagne contre la dissolution d'Urgence Palestine

16h45 - 18h15 : Atelier - Autodéfense numérique : Insécurités numériques et militantismes, comprendre les menaces pour anticiper les risques.
Par l'Interhack

17h - 18h15 : Atelier - Militants/manifestants, s'opposer au fichage : mode d'emploi.
Par des membres du SAF et du Syndicat de la magistrature

17h : Atelier - Présentation de l'outil Attrap (Automate de Traque de Termes et de Recherche dans les Arrêtés Préfectoraux) permettant d'effectuer des recherches dans les recueils des actes administratifs (RAA) des préfectures.
Par La Quadrature du Net

18h15 : Projection du Film « Le repli » suivi d'une discussion

20h : Concerts et DJ

Tables et stands :

  • Technopolice Paris-Banlieue
  • Ligue des droits de l'Homme, avec notamment la présentation des jeux « On lâche rien ! » et « Rien à cacher ! » et de la documentation sur nos droits en manifestation et face à la police
  • Coordination contre la répression et les violences policières Paris-IDF ;
    Interhack - Infokiosque
  • Observatoire des Libertés et du Numérique et ses invité·es

Journées organisées par les associations de l'Observatoire des Libertés et du Numérique : Globenet, Creis-Terminal, la Ligue des droits de l'Homme (LDH), Amnesty International France, Le Syndicat des avocat·es de France (SAF), le Syndicat de la Magistrature (SM), le CECIL et La Quadrature du Net (LQDN).

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02.06.2025 à 10:00

Le droit : allié ou ennemi de nos luttes ? Table ronde autour de la collection « Le mot est faible »

Le samedi 7 juin à 18h00 à la librairie Le Monte-en-l'air (2 rue de la Mare, 75020 Paris), nous débattrons autour d'une question contemporaine particulièrement complexe : le droit est-il un allié ou un ennemi de nos luttes ?

Texte intégral (526 mots)

Le samedi 7 juin à 18h00 à la librairie Le Monte-en-l'air (2 rue de la Mare, 75020 Paris), nous débattrons autour d'une question contemporaine particulièrement complexe : le droit est-il un allié ou un ennemi de nos luttes ?

Pour se faire nous recevrons 4 autrices ayant publié dans la collection "Le mot est faible" aux éditions Anamosa :

  • Stéphanie Hennette Vauchez, professeure de droit public à l'Université Paris Nanterre, directrice du Credof (Centre de recherche et d'études sur les droits fondamentaux), et autrice de "Laïcité" dans la collection "Le mot est faible" ;
  • Sarah Mazouz, sociologue, chargée de recherche au CNRS, autrice de "Race" et de "Nation" dans la collection "Le mot est faible" ;
  • Eugénie Mérieau, maîtresse de conférence à l'université Paris 1 Panthéon-Sorbonne, chercheuse à l'Institut des sciences juridiques et philosophiques de la Sorbonne, enseignante et chercheuse associée à Sciences Po Pariss, et autrice de "Constitution" dans la collection "Le mot est faible" ;
  • Karine Parrot, professeure de droit à l'Université de Cergy et membre du Gisti (Groupe d'information et de soutien des immigréEs), autrice de "Etranger" dans la collection "Le mot est faible".

Cette rencontre sera animée par Pierre Tenne.

Présentation de la collection "Le mot est faible", dirigée par Christophe Granger, par la maison d'édition :

"Comment lutter dans un monde qui n'aime rien tant que décréter le bouleversement de tout ? C'est bien simple : même les mots paraissent devoir perdre leur sens. La « révolution » est devenue l'étendard des conservateurs, la régression se présente sous les atours du « progrès », les progressistes sont les nouveaux « réactionnaires », le salaire est un coût, le salariat une entrave, la justice une négociation et le marché une morale. Tout ce travestissement n'est pas le travail secret d'une propagande. Il appartient à la dérégulation générale dont vit l'ordre d'aujourd'hui, qui vide les mots de leur sens et prend appui sur les ombres creuses qu'il met à leur place. Pour aller contre ce monde, il n'est alors peut-être pas de meilleur moyen que de le prendre aux mots, que de refuser, comme disait Orwell, de capituler devant eux.
C'est toute l'ambition de cette série d'ouvrages courts et incisifs, animés d'un souffle décapant : chaque fois il s'agit de s'emparer d'un mot dévoyé par la langue au pouvoir, de l'arracher à l'idéologie qu'il sert et à la soumission qu'il commande pour le rendre à ce qu'il veut dire."

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01.06.2025 à 13:00

Lancement de la campagne de réquisitions

Avec l'Assemblée Logement 94, on a commencé à médiatiser une campagne de réquisition de batiments vides, qui vise à visibiliser le nombre important de batiments inutilisés et à expliquer les moyens d'application d'un outil juridique trop peu connu.

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Avec l'Assemblée Logement 94, on a commencé à médiatiser une campagne de réquisition de batiments vides, qui vise à visibiliser le nombre important de batiments inutilisés et à expliquer les moyens d'application d'un outil juridique trop peu connu.

Avec l'Assemblée Logement 94, on a commencé à médiatiser une campagne de réquisition de batiments vides, qui vise à visibiliser le nombre important de bâtiments inutilisés et à expliquer les moyens d'application d'un outil juridique trop peu connu. On a déjà commencé les actions de collage d'affichage entre Ivry et Vitry-sur-Seine dans la banlieue sud de Paris, et on pense qu'on gagnerait à étendre cette campagne au plus de villes et collectifs qui luttent contre le mal-logement possible.

Ecrivez-nous à l'adresse aglogement94@proton.me pour recevoir un « kit de campagne » qui inclue des documents utiles pour faciliter vos actions de collage et de communication. N'hésitez pas à nous faire des retours, à prendre des photos et à médiatiser vos actions (sur vos réseaux sociaux ou envoyez-les nous on les relaiera sur les boucles de l'assemblée), pour forcer les mairies à se positionner sur la question des réquisitions et en faire un réel sujet dans les débats publics. 

Bon collages !

Affiches de campagne de réquisition :
1. « Ici un batiment vide »
1'. « Application de la loi de réquisition »
+ explication 

2. « Ici un batiment vide appartenant à la mairie »
2'. « Mise à disposition des bâtiments municipaux »
+ explication (Au cas où, on a laissé un espace vide sur l'affiche pour rajouter votre contact à destination des gens qui souhaiteraient rejoindre votre collectif en voyant l'affiche). 

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01.06.2025 à 12:00

Semaine anti-impérialiste « Organize, fight win ». Du 2 au 8 juin 2025 à Paris.

Paris, du 2 au 8 juin, à l'occasion de l'hommage que nous rendons tous les ans à la mémoire de notre camarade Clément Meric, tué par des neonazis il y a 12 ans, plusieurs collectifs engagés dans la lutte contre le fascisme et l'impérialisme organisent un sommet international réunissant militants et organisations du monde entier.
Cet événement vise à transformer ce moment de mémoire en une initiative stratégique pour refonder un front anti-impérialiste.

Au programme : discussions, rencontres, projections, concerts, expositions et événements sportifs.

Texte intégral (1320 mots)

Paris, du 2 au 8 juin, à l'occasion de l'hommage que nous rendons tous les ans à la mémoire de notre camarade Clément Meric, tué par des neonazis il y a 12 ans, plusieurs collectifs engagés dans la lutte contre le fascisme et l'impérialisme organisent un sommet international réunissant militants et organisations du monde entier.
Cet événement vise à transformer ce moment de mémoire en une initiative stratégique pour refonder un front anti-impérialiste.

Au programme : discussions, rencontres, projections, concerts, expositions et événements sportifs.

Programme de la semaine :

LUNDIJUIN
Vernissage de l'exposition De l'intérieur !
à 18H à la Galerie Treize · 24 rue Moret, 75011, Paris
Plateau radio avec Said Bouamama, Joss Dray, Raul Mora et Guy Dardel
Suivi d'un concert à 20H30 avec Grup Yorum

MARDIJUIN
Projection La Niebla de la Paz de Joel Stängle à 20H au Luminor · 20 rue du Temple 75004, Paris
Suivi d'un débat avec Ciudadanías por la Paz de Colombia

MERCREDIJUIN
Tsedek ! fête ses deux ans
19H à la Flèche d'Or 102 bis rue de Bagnolet, 75020 Paris · Table ronde autour des thématiques de l'exil, des frontières et de la diaspora avec la Marche des Solidarités, Belleville mobilisation et la CSP75
Concert et DJ-sets avec Médine, Costa, Jungle Jack et Missy Ness

JEUDI 05 JUIN
18H30 Rassemblement hommage à Clément Méric au métro Havre-Caumartin 75009 Paris

19H30 Discussion internationale à la Parole Errante, 9 rue François Debergue 93100 Montreuil :
Panturquisme, Otan, Israël : les dynamiques à l'oeuvre au Proche-Orient avec Charjoum (France),
le Mouvement de libération Kurde, Devrimci Komünist Birlik (Chypre), TKP-ML et Youth Commune (Turquie)

VENDREDI 06 JUIN
18H Discussions internationales à la Parole Errante · 9 rue François Debergue 93100 Montreuil :

Ennemi intérieur, ennemi global : l'impérialisme comme matrice de la fascisation avec Rima Hassan, Françoise Vergès, Norman Ajari et Angela Davis (vidéo)

Lutte de libération palestinienne : perspectives depuis les centres impérialistes avec Giovanni Palestinesi Italia, Al Fidai Media et la Campagne contre la dissolution d'Urgence Palestine

SAMEDI 07 JUIN
10H Discussions internationales à la Parole Errante · 9 rue François Debergue 93100 Montreuil :

Indépendantisme et révolution en Irlande et en Euskal Herria avec The Irish Republican Socialist Party (Irlande), Saoradh (Irlande), Askapena (Pays Basque) et Gazte Koordinadora Sozialista (Pays Basque)

L'angle mort carcéral au coeur de l'empire avec la Plateforme pour la voix des Prisonniers (Turquie), Hadeel Shatara (Palestine), Mohamed Katib (Samidoun Network), Charmane Jay “Charm” Maranan (Philippines), Anti-Imperialist Front et Frédérique Muliava · co-organisé par Samidoun Paris-Banlieue

Reconstruire un mouvement anti-guerre contre la militarisation globale avec Collettivo Autonomo Lavoratori Portuali (Italie), A Foras (Sardaigne), Ajamu Baraka (États-Unis) et Alvaro Arroyo Garcia (Colombie) de la Black Alliance for Peace et Guerre à la guerre (France)

Le continuum colonial français en Afrique, Caraïbes et Kanaky avec la Cellule de Mobilisation Paris pour Kanaky, Inem Richardson (Burkina Faso), Imani Na Umoja (Guinée-Bissau) et Ketikila Kani-Matonda Merveille (République démocratique du Congo) · co-organisé par la Ligue Panafricaine-Umoja

20H Concert avec Mokless (Scred Connexion), H JeuneCrack, Lylice, Leo SVR, Encore une Autre + Special Guest...

DIMANCHE 08 JUIN
12H Manifestation pour Clément
Place de la République > Place Gambetta, Paris

14H Sport populaire par le MFC, la Basse Cour Basket et le Ménilmontant Boxing Club · tournoi de boxe et basket ainsi que sparrings de boxe · au centre sportif Louis Lumière · 30 rue Louis Lumière 75020 Paris

18H Clôture du festival autour d'un repas et d'échanges collectifs. Résultats et remise des prix de la tombola anti-impérialiste. À la Parole Errante · 9 rue François Debergue 93100 Montreuil

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 Persos A à L
Mona CHOLLET
Anna COLIN-LEBEDEV
Julien DEVAUREIX
Cory DOCTOROW
Lionel DRICOT (PLOUM)
EDUC.POP.FR
Marc ENDEWELD
Michel GOYA
Hubert GUILLAUD
Gérard FILOCHE
Alain GRANDJEAN
Hacking-Social
Samuel HAYAT
Dana HILLIOT
François HOUSTE
Tagrawla INEQQIQI
Infiltrés (les)
Clément JEANNEAU
Paul JORION
Michel LEPESANT
Frédéric LORDON
 
 Persos M à Z
Henri MALER
Christophe MASUTTI
Romain MIELCAREK
MONDE DIPLO (Blogs persos)
Richard MONVOISIN
Corinne MOREL-DARLEUX
Timothée PARRIQUE
Thomas PIKETTY
VisionsCarto
Yannis YOULOUNTAS
Michaël ZEMMOUR
LePartisan.info
 
  Numérique
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