Porté par le mouvement populaire, le RIC s’est imposé comme une volonté citoyenne de reprendre la main sur les décisions politiques. Comment fonctionne-t-il ? Réponse en une infographie.
Le président, le premier ministre et le ministre de l’Intérieur songent à l’utilisation de l’article 11. Un outil démocratique perçu comme une arme constitutionnelle au service des ambitions politiques macronistes.
Emmanuel Macron s’exprime ce 13 mai sur TF1 pour s’adresser aux Français. Le chef de l’État devrait annoncer un référendum, outil qu’il agite régulièrement depuis 2017. Une manière de reprendre la main sur l’agenda politique, dans une logique présidentialiste caractéristique du macronisme. Le tout, en évitant les sujets qui préoccupent le plus les Français.
Dans son film, Jean-Claude Flamand-Barny remet en lumière Frantz Fanon et sa pensée décoloniale, encore trop marginalisée. Plus qu’un simple biopic, le film questionne la domination culturelle et souligne l’urgence de faire émerger des récits racisés dans le paysage cinématographique français.
Depuis quelques années, écologistes, socialistes, communistes et insoumis ont mis en place des instances internes pour analyser les stratégies de l’extrême droite et tenter de riposter. Mais la lutte unitaire n’est pas pour tout de suite.
Sur BFMTV, Alain Jakubowicz, président de la Licra, a comparé Jean-Luc Mélenchon et Joseph Goebbels. Ce, en l’absence totale de relance ou de commentaire d’Apolline de Malherbe. Laquelle aura tardé à mettre les choses au point.
Quatre-vingts ans après la chute du régime de Mussolini, l’Italie n’a pas réglé ses comptes avec son passé. La fragilité des lois adoptées alors a empêché une véritable épuration et le pays a connu une résurgence néofasciste aujourd’hui banalisée.
Samuel Bouron, sociologue, auteur de Politiser la haine. La bataille culturelle de l’extrême droite identitaire, aux éditions La Dispute, est l’invité de « La Midinale ».