Ces 21 et 22 juin à Paris, l’agrégat des « purgés » de La France insoumise s’est structuré pour plaider, en chœur, au rassemblement de toute la gauche et une candidature commune en 2027. Une petite respiration unitaire au milieu des guerres hégémoniques.
Derrière le silence des pays arabes face à la guerre entre Israël et l’Iran se cache une hostilité profonde envers Téhéran. Sans pouvoir soutenir ouvertement Israël, avec le génocide en cours à Gaza, ces régimes penchent, pour des raisons stratégiques, du côté du camp américano-israélien.
Galaxie Bolloré, chaîne d’infos en continu ou incursion dans l’audiovisuel public, la propagande du premier ministre israélien et de son armée continue d’envahir les médias français, non sans une relative vigilance des sociétés de journalistes.
En revenant sur une multitude de faits accumulés ces derniers mois, une logique se dégage : celle de l’abandon des principes fondamentaux de notre République, des droits humains, du droit international. Sans fracas, l’affreuse contagion gagne.
Olivier Legrain, fondateur de la Maison des médias libres, auteur de Sauver l’information de l’emprise des milliardaires aux éditions Payot, est l’invité de « La Midinale ».
Le cerveau de Trump est une sorte de boîte noire aussi complexe que le Kremlin autrefois. Le personnage étant président des États-Unis, on bien obligé de chercher à comprendre. Et l’affaire iranienne donne matière à analyse.
À San Francisco, une start-up demande à Donald Trump d’autoriser la création d’une ville privée, affranchie des taxes et des réglementations fédérales. Un projet qui n’a rien d’isolé : du Honduras au Texas, les milliardaires rêvent de bâtir leurs propres enclaves libertariennes, loin des contraintes démocratiques.
Alors que les raids anti-immigration menés par les forces de ICE plongent une partie des États-Unis dans un climat de terreur, la contestation se répand dans tout le pays. Face aux manifestations, le gouvernement déploie une répression militaire d’une ampleur inédite.
Les universitaires états-uniens ne sont pas tous démocrates, loin de là. Et certains jouent un rôle clé dans l’élaboration idéologique du trumpisme. Cette alliance s’inscrit dans un réseau stratégique qui s’impose jusqu’aux cercles du pouvoir.