Lancée il y a six mois, cette opération très médiatique avait marqué les esprits par le déploiement inédit des forces de polices. Mais le narcotrafic persiste et s’adapte, révélant les limites d’une stratégie ponctuelle face à un phénomène enraciné.
Les « grandes puissances » seraient impuissantes à arrêter la machine de guerre de Netanyahou, laquelle s’en prend désormais à l’Unwra et à la Finul. En vérité, il y a surtout une absence totale de volonté à Washington, comme à Paris, à Rome ou à Berlin.